Crash dans le Sinaï : Vladimir Poutine suspend les vols civils russes vers l'Égypte <!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
L'Airbus A321 de la compagnie Metrojet s'est écrasé 23 minutes après son décollage de Charm el-Cheikh, avec ses 224 occupants.
L'Airbus A321 de la compagnie Metrojet s'est écrasé 23 minutes après son décollage de Charm el-Cheikh, avec ses 224 occupants.
©Reuters

Conséquence

Le président russe a aussi ordonné au gouvernement de mettre en œuvre le rapatriement des Russes qui se trouvent encore sur le territoire égyptien.

Le président russe a ordonné ce vendredi la suspension de tous les vols des compagnies aériennes russes à destination de l'Egypte. En attendant de pouvoir identifier avec certitude les causes de la catastrophe aérienne de samedi dernier, Vladimir Poutine a suivi les conseils de son chef des services secrets, Alexandre Bortnikov.

Selon ce dernier, la Russie se devait de suspendre tous ses vols civils à destination de l'Egypte, jusqu'à ce que les causes de la destruction de l'appareil de la compagnie Metrojet soient connues. 

"Jusqu'à ce que nous connaissions la raison réelle de ce qui s'est passé, je considère opportun de cesser les vols russes vers l'Egypte (…) Cela concerne avant tout les lignes touristiques" explique le chef du Service fédéral de sécurité.

Samedi 31 octobre, l'Airbus A321 s'était écrasé 23 minutes après son décollage de Charm el-Cheikh, avec ses 224 occupants au-dessus du Sinaï, à l'est de l'Egypte. Peu après la catastrophe, Le groupe Etat islamique a revendiqué ce crash sans apporter plus de précisions.

Vladimir Poutine a aussi ordonné au gouvernement de mettre en œuvre le rapatriement des Russes qui se trouvent encore sur le territoire égyptien, soit environ 45 000 touristes.

Lu sur Le Figaro

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !