Conseil national des Républicains : Sarkozy, boudé par ses rivaux, présente sa vision du parti<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Conseil national des Républicains : Sarkozy, boudé par ses rivaux, présente sa vision du parti
©Reuters

Discours

Le patron des Républicains a souligné l'absence de certains candidats à la primaire de la droite, ce dimanche lors du Conseil national des Républicains.

A neuf mois de la désignation du candidat de la droite pour 2017, Nicolas Sarkozy a présenté aujourd'hui son texte d'orientations pour le parti, devant un auditoire où certains ont brillé par leur absence. Lors de ce week-end de Conseil national qui a notamment vu l’élection de Luc Chatel en remplacement de Jean-Pierre Raffarin, certains candidats ont fait le service minimum. Etaient absents ce dimanche Alain Juppé, Bruno Le Maire ou Jean-François Copé, qui ont prétexté des engagements familiaux, ainsi que Nadine Morano, qui compte célébrer les 100 ans de la naissance du général Bigeard. 

Nicolas Sarkozy n'a pas manqué de glisser une allusion à ces absents. Il a ainsi souligné la présence de Jean-Pierre Raffarin qui "nous honore de sa présence alors qu’il était déjà là hier" et a insisté sur la présence de "Michèle Alliot-Marie, Jean-Pierre Raffarin, Gérard Larcher et beaucoup d’autres", comme pour mieux mettre en lumière les absents.

Il a ensuite présenté son texte sur les orientations du parti pour 2017, en guise de clôture du Conseil national Les Républicains. Ce texte sera "soumis au vote des adhérents en avril", mais plusieurs ténors du parti estiment qu’il n’engage que Nicolas Sarkozy.

"Les racines chrétiennes de la France ne sont pas un obstacle à l'assimilation", a ainsi lancé l'ancien président, dans un discours à droite tourné autour des thèmes de l'identité, de la nation et de la République.

"Notre Conseil national a pour objet de débattre d'une ligne politique. C'est une bonne chose, sous réserve de ne pas oublier qu'une ligne politique, c'est le résultat d'un projet pour la France, ça ne peut pas être le fruit d'une synthèse hollandienne", a-t-il lancé.

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !