Ce qu'il faut retenir du discours à la nation de Vladimir Poutine<!-- --> | Atlantico.fr
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Le président russe Vladimir Poutine prononce son discours annuel sur l'état de la nation à Moscou, le 21 février 202
Le président russe Vladimir Poutine prononce son discours annuel sur l'état de la nation à Moscou, le 21 février 202
©Dmitry ASTAKHOV/SPUTNIK/AFP

Discours à la nation

- Poursuite de l’offensive en Ukraine 

Comme il l'a régulièrement déclaré depuis le 24 février dernier, le président russe a promis ce mardi de poursuivre sa campagne militaire en Ukraine. « Je parle à une heure très difficile, de grands changements pour nous, d’événements historiques qui détermineront l’avenir de notre peuple », a-t-il lancé. « Il y a un an, pour assurer la sécurité de notre pays, pour éliminer les menaces venues d'un régime néonazi existant en Ukraine depuis le coup d'État de 2014, il a été décidé de mener une opération militaire spéciale », a-t-il ajouté. « Il est impossible de battre la Russie sur le champ de bataille », a-t-il conclu. 

- L'c veut en « finir » avec la Russie

« Les élites de l'Occident ne cachent pas leur objectif : infliger une défaite stratégique à la Russie, c'est-à-dire en finir avec nous une bonne fois pour toute », a annoncé le maître du Kremlin. « Nous comprenons cela et nous réagirons. Il en va de l'existence de notre pays », a-t-il ajouté, assurant que son pays avait « fait tout ce qui était en notre pouvoir pour régler ce problème de manière pacifique ».

- Les sanctions sont « inefficaces » et la Russie « résiliente » 

Vladimir Poutine a assuré que les sanctions occidentales étaient « inefficaces » et avaient pour objectif d’infliger des « souffrances au peuple russe ». Les Occidentaux « ont cherché à s'en prendre aux entreprises russes, à limiter notre accès au marché d'exportation, à faire chuter le rouble et à entraîner une inflation (...) Ils s'attendaient à un effondrement de notre économie », a-t-il martelé.

- Les « traîtres » doivent être punis

Le président de la fédération de Russie a également appelé à « punir » les « traîtres », à coup d'arrestations et de lourdes peines de prison. « Ceux qui ont choisi de trahir la Russie doivent être tenus responsables devant la loi ». Il a cependant ajouté qu’il ne s’agissait pas d'une « chasse aux sorcières ».

BFM TV

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