Blocus de Paris : Gabriel Attal reconnaît n'avoir « pas répondu » à « tout le malaise » des agriculteurs, de nouvelles mesures seront présentées dans les jours à venir <!-- --> | Atlantico.fr
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Le Premier ministre Gabriel Attal s'entretient avec des agriculteurs lors d'une visite dans une ferme de Parcay-Meslay, près de Tours, le 28 janvier 2024.
Le Premier ministre Gabriel Attal s'entretient avec des agriculteurs lors d'une visite dans une ferme de Parcay-Meslay, près de Tours, le 28 janvier 2024.
©ALAIN JOCARD / AFP

Mobilisation du monde agricole

Le Premier ministre était en déplacement auprès des agriculteurs ce dimanche. La plupart des points de blocage ont été levés par les agriculteurs samedi. Une nouvelle action d’ampleur va cibler Paris ce lundi.

La journée de lundi va marquer une nouvelle étape dans le mouvement de colère des agriculteurs. Des syndicats ont lancé un appel à un blocus de la ville de Paris. Le marché de Rungis devrait être aussi impacté par la mobilisation des agriculteurs lundi matin. Les premières mesures annoncées par Gabriel Attal vendredi n’ont pas satisfait les syndicats agricoles qui appellent à la poursuite du mouvement dès lundi. Le Premier ministre était en déplacement en Indre-et-Loire ce dimanche. Gabriel Attal s’est engagé à ce que des mesures « supplémentaires » soient annoncées dans les semaines qui viennent pour protéger l’agriculture française.

Gabriel Attal a reconnu n’avoir « pas répondu » à « tout (...) le malaise et le mal-être de nos agriculteurs », lors d’un discours prononcé à l’occasion des voeux de la députée Fabienne Colboc.

« Je suis résolu à avancer, avancer résolument, à avancer vite », a confié le Premier ministre.

Gabriel Attal a demandé, lors de son déplacement en Indre-et-Loire ce dimanche, « que dans tous départements de France, les préfets réunissent les agriculteurs pour regarder, norme après norme, ce qu'on peut simplifier ».

Selon Gabriel Attal, « nos agriculteurs, nos agricultrices, ne comptent pas leurs heures (...) ils se lèvent tous les jours pour travailler. Evidemment qu'ils doivent vivre dignement de leur travail ».

BFMTV

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