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DSK ne présente
pas d'excuses à Banon
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Face à Face

Banon confrontée ce matin à DSK, qu'elle accuse d'avoir tenté de la violer en 2003. Invitée du 20H de TF1 ce soir.

[Mis à jour à 13h21]

Selon BFMTV, Dominique Strauss-Kahn et Tristane Banon ont tous les deux maintenu leur version des faits. Selon Me , avocat de DSK, ce dernier n'a pas présenté d'excuses car «il n'a aucune raison de s'excuser».

[Mis à jour à 13h02]

Laurence Ferrari a annoncé sur Twitter que Tristane Banon serait son invitée au journal de 20 heures de TF1 jeudi soir.

[Mis à jour 12h10]

La confrontation qui a eu lieu ce matin entre Dominique Strauss-Kahn et Tristane Banon, sans leurs avocats, a pris fin vers 11H30 heure à laquelle DSK est sorti des locaux de la police judiciaire. Il n'a fait aucune déclaration. Dans l'hypothèse ou la justice déciderait de classer le dossier, Tristane Banon a déjà fait savoir qu'elle poursuivrait malgré tout son combat judiciaire et se constituerait "partie civile". Une telle décision entraînerait la désignation d'un juge d'instruction.

[Publié le 29 septembre]

Si Dominique Strauss-Kahn a qualifié les propos de Tristane Banon "d'imaginaire" et qu'il a porté cette accusation devant la justice pour diffamation, il devra quand même être confronté à son accusatrice ce jeudi. L'ancien patron du FMI a fait savoir à travers la voix de ses avocats qu'il se tenait prêt pour cette confrontation.

De son coté Tristane Banon semble attendre cette confrontation comme elle l'avait confié jeudi dernier : "Je voudrais qu'il soit en face de moi et qu'il me dise droit dans les yeux que ce sont des faits +imaginaires+. Je voudrais le voir me dire ça". Mais le journaliste a également confié qu'elle avait évidemment "peur de cette confrontation" qu'elle ne dormirait pas la veille mais qu'elle est certaine "que la justice fera son travail".

Anne Mansouret, la mère de Tristane Banon, confiait sur RTL que "si elle n'avait pas été sa fille elle n'aurait pas choisi Tristane comme amie". Malgré ces propos, elle espère que sa fille "ne se laissera pas impressionner, qu'elle fera face".

Dominique Strauss-Kahn, lui, a reconnu qu'il a fait "des avances" mais qu'il n'y avait jamais eu d'agression.

Au delà de l'audience, la justice aura trois choix : classer sans suite, déclarer les faits prescrits ou alors nommer un juge d'instruction et ouvrir une information judiciaire.

Lu sur Libération.fr

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