Assemblée nationale : Barbara Pompili et trois autres députées prennent leur distance avec le groupe Renaissance<!-- --> | Atlantico.fr
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Quatre députées du camp présidentiel, dont Barbara Pompili, prennent leurs distances avec le groupe Renaissance à l'Assemblée nationale.
Quatre députées du camp présidentiel, dont Barbara Pompili, prennent leurs distances avec le groupe Renaissance à l'Assemblée nationale.
©LUDOVIC MARIN / AFP

Majorité présidentielle

Ces quatre députées seront "apparentées" au groupe Renaissance. Elles restent membres de la majorité relative.

Quatre députées du camp présidentiel prennent leurs distances avec le groupe Renaissance à l'Assemblée nationale, selon une information du Monde.

Une annonce parue dans le Journal officiel fait état de la suppression des noms de Mireille Clapot, Stella Dupont, Cécile Rilhac, et de Barbara Pompili, l'ancienne ministre de la Transition écologique.

Ces parlementaires, issues du microparti "En Commun", ont, tout au long des débats sur la réforme des retraites, régulièrement émis leur réticence quant au projet de loi du gouvernement.

Quelques jours avant le vote à l'Assemblée nationale (qui, en raison du recours par Elisabeth Borne du 49.3, n'a finalement pas eu lieu), Barbara Pompili avait affirmé qu'elle ne voterait pas la réforme.

Désormais, Barbara Pompili ainsi que ses trois collègues seront "apparentées" au groupe Renaissance, dont le nombre de députés reste toutefois de 170 membres au total. 

"Les députées En Commun ont décidé, dans un souci de clarification, de s'inscrire comme apparentées au groupe Renaissance à l'Assemblée nationale. N'étant pas membres du parti Renaissance, il devenait difficile de rester membres d'un groupe qui porte le même nom. Par cet acte, nous affirmons la spécificité de la parole portée par notre parti En Commun: Tout en maintenant notre appartenance à la majorité", a expliqué l'ancienne ministre de la Transition écologique sur Twitter.

"Cela ne change rien à leur participation à la vie du groupe, ni même aux responsabilités qui peuvent être les leurs", a précisé le groupe Renaissance, en indiquant qu'il est "normal" que les élues soient désormais apparentées.

Le Figaro

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