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APL : aucune annonce n'aurait été faite sans l'aval de l'Elysée selon le cabinet de Jacques Mézard
©MARTIN BUREAU / AFP

Feuilleton

"Une connerie sans nom" c'est en ces termes que le chef de l'Etat aurait qualifié la baisse des APL. Pour autant, du côté du cabinet du ministre Jacques Mézard, aucune annonce n'aurait été faite sans l'accord du chef de l'Etat selon l'Express.

Selon le Canard enchaîné dans son édition du 2 août, le chef de l'Etat, Emmanuel Macron aurait qualifié, devant des dirigeants de la majorité, la baisse des APL de "connerie sans nom".  La mesure, très critiquée au sein de l'opposition et de l'opinion publique, avait été annoncée le 22 juillet par Matignon.

Nouveau rebondissement dans ce feuilleton des APL, le cabinet de Jacques Mézard qui a succédé à Richard Ferrand à la Cohésion des territoires a confié au magazine l'Express : " On n'aurait jamais fait une annonce sans le consentement du président de la République". Dans la foulée, le cabinet n'oublie pas de se décharger en accusant l'exécutif du précédent quinquennat d'avoir acté cette baisse des APL.

La paternité de cette mesure impopulaire reste donc encore inconnue. Bien seul, Christophe Castaner essaye encore de défense ladite mesure, il a rappelé lors d'une interview à Konbini qu'il s'agissait "d'une bonne nouvelle" permettant la survie du dispositif.

Légère rectification de trajectoire

Pour éviter une nouvelle polémique, le gouvernement a annoncé  vouloir revoir le "seuil d'exclusion" de la mesure qui devrait être appliquée d'ici octobre 2017, ce qui permettrait à 50 000 bénéficiaires de ne pas perdre leur droit à l'APL.

Lu sur L'Express

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