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Anders Breivik menace une nouvelle fois de faire une grève de la faim pour dénoncer ses conditions de détention
©Reuters

Dur

Le Norvégien de 36 ans purge une peine de 21 ans de prison qui peut être prolongée tant qu'il sera considéré comme dangereux, pour avoir tué 77 personnes en juillet 2011 au nom de la lutte contre le multiculturalisme.

Anders Breivik s'était déjà plaint de ses conditions de détention. Cette fois, le site Internet d'information norvégien Nettavisen a rapporté ce mardi avoir reçu une "lettre ouverte" également adressée à d'autres médias et aux autorités pénitentiaires dans laquelle l'homme se plaignait de ses conditions de détention. D'après le détenu, elles sont devenues encore plus strictes : "Si on ne revient pas sur le tour de vis du 2 septembre, je finirai par mener une grève de la faim jusqu'à en mourir. Je n'en peux plus", y écrit-il, d'après Nettavisen. 

En février 2014, il avait écrit une missive de quatre pages dans laquelle l'auteur de la tuerie d'Utoya y exprime ses exigences quant à ses conditions carcérales : parmi celles-ci, la fin des fouilles corporelles (quasi-quotidiennes dans son cas), doublement de son revenu hebdomadaire (chaque détenu reçoit l'équivalent de 36 euros par semaine pour, notamment, les correspondances avec l'extérieur) et, plus étrange, le remplacement de sa console de jeux...

Anders Breivik, 36 ans, purge une peine de 21 ans de prison qui peut être prolongée tant qu'il sera considéré comme dangereux, pour avoir tué 77 personnes en juillet 2011 au nom de la lutte contre le multiculturalisme.

Lu sur Europe 1

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