Affaire du pain au chocolat : Copé estime avoir promu "un produit boulanger"<!-- --> | Atlantico.fr
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Jean-François Copé
Jean-François Copé
©Reuters

Et la marmotte...

"Il est des quartiers où les enfants ne peuvent pas manger leur pain au chocolat car c'est le ramadan", avait lancé le député-maire de Meaux en 2012.

Jean-François Copé entend encore faire parler de lui. L'ancien chef de l'UMP, poussé vers la sortie après avoir fait les frais de l'affaire Bygmalion, croit toujours en sa résurrection et à son destin élyséen, indique Le Point. "Je peux être élu à la présidence de la République. Je dois me préparer à la primaire de la droite et du centre. Si les circonstances le permettent, il faut que je sois prêt", martèle le député-maire de Meaux à ses proches.

Jean-François Copé affirme notamment que "pour qu'un pays soit gouverné, il faut que la main ne tremble pas". La droite de retour au pouvoir, il faudra "réformer par ordonnance pendant six mois pour faire passer dix grandes mesures très fortes tout de suite".

Pour l'heure, l'ex-patron de la droite s
'astreint à une cure de silence médiatique. Finies les petites phrases. Il écrit sur son blog. Il tweete. Pas plus. Dans cet article, Le Point revient justement sur une de ses sorties qui avaient fait grand bruit. C'était en octobre 2012, lors d'un meeting à Draguignan. "Il est des quartiers où les enfants ne peuvent pas manger leur pain au chocolat car c'est le ramadan", avait-il lancé. 

Trois ans après, l'élu assume et assure 
avoir promu "un produit boulanger" avec "cette formule vraie". "C'est lui, la droite décomplexée", soutient sa garde rapprochée.

Lu sur Le Point

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