Affaire du Carlton : DSK a été de nouveau convoqué par les juges d'instruction<!-- --> | Atlantico.fr
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Selon les juges d'instruction, plusieurs indices rendent la participation de DSK "effective et déterminante"
Selon les juges d'instruction, plusieurs indices rendent la participation de DSK "effective et déterminante"
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Le feuilleton continue

Les juges d’instruction en charge de l’affaire du Carlton ont à nouveau convoqué l’ancien patron du FMI.

Selon une information du Figaro, Dominique Strauss-Kahn a été de nouveau convoqué ce matin par les juges d’instruction de Lille dans l’affaire du Carlton. Il est arrivé à 10 heures au palais de justice.

Le 24 janvier, l’ex-ministre avait été confronté à une prostituée dans le cadre de ce dossier.  Les juges estiment en effet que plusieurs indices rendent la participation de l'ancien directeur du FMI Dominique Strauss-Kahn "effective et déterminante" dans des actes de proxénétisme. Dominique Strauss-Kahn savait que les femmes présentes lors de rencontres étaient des prostituées rémunérées. Les magistrats estiment que DSK "n'aurait pas été un simple bénéficiaire de ces parties fines mais aurait 'initié et largement favorisé en toute connaissance de cause la mise en place d'un système fondé sur la complaisance de son entourage immédiat dans le but de satisfaire ses besoins sexuels'", rapportait un article du Figaro du 23 janvier.

Les magistrats ont récemment repris leurs investigations et mis en examen pour proxénétisme aggravé "Dodo la Saumure", patron de maisons closes en Belgique, ainsi que sa compagne. La chambre d'appel de la cour d'appel de Douai avait rejeté mi-décembre les demandes de nullité de procédure dans l'affaire du Carlton, validant l'instruction menée depuis mars 2011 par des magistrats lillois. La défense de Dominique Strauss-Kahn avait annoncé qu'elle allait se pourvoir en cassation. Fin septembre, le parquet général de Douai avait estimé les requêtes de DSK et du commissaire Lagarde "recevables mais non fondées", soulignant que leurs mises en examen étaient "justifiées par des "indices graves ou concordants".

Lu sur Le Figaro.fr

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