À cent jours des JO, certains hôteliers et propriétaires d’Airbnb à la peine<!-- --> | Atlantico.fr
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Particuliers et professionnels n’hésitent plus à baisser leurs prix pour remplir leurs établissements.
Particuliers et professionnels n’hésitent plus à baisser leurs prix pour remplir leurs établissements.
©Philippe LOPEZ / AFP

Trop gourmands

Particuliers et professionnels n’hésitent plus à baisser leurs prix pour remplir leurs établissements.

Particuliers et professionnels n’hésitent plus à baisser leurs prix pour remplir leurs établissements. C’est le cas d’Anna, gestionnaire de locaux commerciaux à Paris, qui a mis son logement en location sur Airbnb en misant sur le mauvais cheval : «J’ai eu beaucoup de demandes de réservation dès que les tickets étaient en vente, mais je n’ai rien accepté. J’ai voulu attendre quelques semaines pour mettre un prix plus élevé. Résultat, je n’ai aucune réservation du 26 juillet au 11 août.» Pour cette période, la quadragénaire espérait louer son deux-pièces du quartier Montorgueil à 1000 euros la nuitée, pour cinq personnes. «J’ai déjà baissé mon prix de 30% par rapport à mes estimations et je vais attendre jusqu’à la fin du mois de mai. Si la situation ne s’améliore pas, je vais encore revoir mes tarifs», déplore-t-elle.

«Cet été, il y aura moins de monde dans la capitale, Paris ne sera pas complet», prévoit même Olivier Petit, associé d’In Extenso Tourisme Culture et Hôtellerie. Si le spécialiste observe un taux de réservation autour de 60% dans les hôtels parisiens lors des JO, il rappelle «qu’il y aura des gagnants et des perdants». «Les hôtels qui ont donné leur allotement au Comité d'Organisation des Jeux Olympiques (Cojo) seront gagnants car ils ont une clientèle sécurisée», précise-t-il.

Le Figaro

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