Pourquoi Fillon ne devrait avoir aucun poste pour ses amis, ni à l'UMP ni au groupe à l'Assemblée<!-- --> | Atlantico.fr
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Le dernière réunion du groupe R-UMP réunissant des députés fillonistes s'est tenue mercredi dernier.
Le dernière réunion du groupe R-UMP réunissant des députés fillonistes s'est tenue mercredi dernier.
©Reuters

Confidentiel

Lors de la dernière réunion du groupe R-UMP réunissant les députés fillonistes mercredi dernier, il avait pourtant été décidé que sa dissolution serait subordonnée à l'embauche d'une demi-douzaine de collaborateurs de François Fillon par le groupe UMP reconstitué ou le parti lui-même.

Lors de la dernière réunion de l’éphémère groupe R-UMP réunissant les députés fillonistes mercredi dernier, il avait été décidé que sa dissolution serait subordonnée à l’embauche d’une demi-douzaine de collaborateurs de François Fillon par le groupe UMP reconstitué ou le parti lui-même. C’est le député Eric Woerth qui a été chargé de négocier ce point délicat avec Christian Jacob, président du groupe UMP à l’Assemblée nationale et proche de Jean-François Copé. Le député-maire de Provins a trouvé un argument imparable pour éviter d’avoir à recruter des conseillers du camp adverse : "Nous sommes obligés de licencier une dizaine de personnes au groupe et une quarantaine au parti. Comment pourrait-on justifier, vis-à-vis de ces gens dont on se sépare, que nous embauchons de nouveaux éléments ?"

Au bout du compte, un compromis aurait été trouvé sur la base suivante : l’UMP, qui subventionne le think tank de François Fillon France.9, pourrait augmenter substantiellement son aide de manière à ce que ce club récemment transformé en parti politique puisse salarier deux permanents.

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