Michel Sapin et "l'ultra-sensibilité des Français à l’impôt", Free annonce une nouvelle box et les mises en garde de Lakshmi Mittal

Michel Sapin : "Il y a une forme d'ultra-sensibilité des Français à l’impôt sur le revenu"

Michel Sapin était l’invité du Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI. Le ministre des Finances était interrogé, entre autre, sur la fiscalité des ménages et des entreprises. Sapin concède qu’il y a "aujourd'hui, une forme d'aversion et d'ultrasensibilité des Français à l'impôt sur le revenu" et précise qu'il ne souhaite pas augmenter la TVA ou la CSG. Le ministre dit non également à une fusion de l'IR et CSG : "ça veut dire plus d'impôt pour des gens qui en payent déjà beaucoup, la classe moyenne supérieure". Voir l'émission.

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Maxime Lombardini - Free :  "Nous avons la meilleure offre, les abonnés le savent"

Maxime Lombardini était l’invité de BFM Business ce matin. Le directeur général d'Iliad, la maison mère de Free, a confirmé viser 4 milliards d’euros de chiffre d’affaires pour la fin de l’année. "Nous avons fait plus de 2 milliards sur le premier semestre, c’est donc un objectif fixé que l’on peut tenir". Pour le patron de l’opérateur, ces bons chiffres estime résultent d’un seul et unique facteur : "Nous avons la meilleure offre. Les abonnées le savent et c’est pour cela que nous continuons à recruter pendant que nos concurrents sont en promotion permanente". Le dirigeant a également annoncé que les équipes travaillaient "sur une nouvelle box" sans préciser sa date de sortie.

Lakshmi Mittal - Arcelor Mittal : "En Europe la compétitivité reste un problème à régler"

Dans une interview aux Echos, Lakshmi Mittal estime que "l'Europe doit regagner en compétitivité pour se mettre au niveau des standards mondiaux". Le patron du groupe sidérurgique se dit "prudemment optimiste sur la poursuite de la reprise" sur le continent. "En Europe la compétitivité reste un problème à régler. L'énergie y reste chère, le marché du travail est encore très réglementé et la demande demeure faible. Résultat, l'écart de compétitivité entre les deux côtés de l'Atlantique s'est creusé. Cela pourrait poser davantage de problèmes quand le nouveau traité de libre-échange avec les États-Unis viendra en discussion. Si l'Union européenne ne se prépare pas, ses entreprises pourraient souffrir de cela" explique-t-il. Lire l'interview