Macron, un président planqué ...<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Société
Au stade de France, Macron a préféré se planquer...
Au stade de France, Macron a préféré se planquer...
©FRANCK FIFE / AFP

Coupe de France

Il ne fallait pas qu’il soit sifflé.

Benoît Rayski

Benoît Rayski

Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.

Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.

Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.

Voir la bio »

Finalement tout s’est bien passé au Stade de France : des milliers de gendarmes avaient été mobilisés par Laurent Nunez. Peu de sifflets, pas de cartons rouges. Ils avaient été confisqués à l’entrée du stade. Les seuls pour lesquels ça s’est mal passé, ce sont les joueurs de Nantes, malmenés par ceux de Toulouse : 5 à 1. Et pour Macron, tout s’est bien passé. 

Tout avait été fait pour...

La tradition veut qu’après la finale le président aille saluer les vainqueurs sur la pelouse. Et on a dérogé à cette tradition. Macron n’est pas allé sur la pelouse. Laurent Nunez a expliqué qu’il a pris cette décision car il craignait que la pelouse soit envahie par les supporters. En réalité, il craignait bien sûr que Macron soit hué. Des milliers de Français auraient vu ça à la télévision. Une image désastreuse pour le chef de l’Etat. L’occasion de rappeler la phrase historique de Gabriel Attal : « Je préfère un président chahuté qu’un président planqué". 

Au stade de France, Macron a préféré se planquer... 

PS : L'année dernière lors de la finale, Macron était sur la pelouse. Mais c’était avant la réforme des retraites.

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !