La fille violée de Nantes ne veut pas qu’on dise que ses violeurs étaient des migrants !<!-- --> | Atlantico.fr
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La femme violée à Nantes "rejette l’amalgame facile et erroné fait entre immigration et délinquance".
La femme violée à Nantes "rejette l’amalgame facile et erroné fait entre immigration et délinquance".
©PHILIPPE HUGUEN / AFP

Pasdamalgam…

À la souffrance du viol se sont ajoutés, selon elle, les commentaires de la fameuse « fachosphère ».

Benoît Rayski

Benoît Rayski

Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.

Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.

Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.

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L’affaire, glauque et répugnante, avait fait beaucoup de bruit. Trois migrants soudanais avaient violé une jeune femme en pleine rue. Trois migrants ? Non, il ne faut pas dire ça mais « trois hommes ». Nous demandons donc de façon pressante à la direction d’Atlantico de rectifier en ce sens notre précédent article.

En effet, la fille violée a décidé de sortir de son silence qui lui pesait manifestement. Elle l’a fait par l’intermédiaire de son avocate. Et elle s’indigne qu’on désigne les violeurs comme étant des migrants. Les violeurs sont, précise-t-elle, de tous les âges, de toutes les races, de toutes les religions.

Selon elle, la seule formule acceptable est de dire : « des hommes ont violé une femme ». La fille violée est, tout comme la mairie de Nantes, de gauche. Sur un point, nous sommes d’accord avec elle : ce sont des hommes qui violent les femmes et non pas l’inverse.

Et il y a certes des violeurs parmi les Français de souche. Reste qu’ils sont beaucoup plus nombreux dans d’autres catégories de la population comme l’indiquent les statistiques carcérales. A cela deux raisons évidentes. La première : les migrants sont presque toujours des hommes seuls en manque de sexualité. L'énorme majorité d'entre eux s'en accommode comme les hommes de tous les pays du monde confrontés à la même situation. La deuxième, certains peinent à échapper à la culture de pays où le consentement des femmes est une valeur parfois relative.

Pour finir, une suggestion aux migrants : avant de violer une fille, assurez-vous qu’elle est de gauche. Car si elle est de droite, elle peut devenir méchante. 

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