Justice est (presque) faite !
L’assassin en chef du Hamas a été éliminé par les Israéliens
D’autres suivront...
Benoît Rayski
Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.
Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.
Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.
Il s’appelait Ali Kachi. Il était le chef de l’unité d’élite du Hamas. C’est lui qui a organisé et dirigé l’abominable tuerie dans les kibboutz israéliens. Des bébés décapités, des filles violées puis martyrisées.
Il avait du sang sur les mains. Ali Kachi avait une longue histoire derrière lui. Originaire de Cisjordanie, il était en prison en Israël pour terrorisme.
La mort dans l’âme, les dirigeants de l’Etat hébreu ont été obligés de le libérer avec une centaine d’autres détenus en échange du soldat Gilad Shalit qui était entre les mains du Hamas. Israël ne laisse jamais tomber mes siens !
L’élimination d’Ali Kachi a été rendue possible grâce aux renseignements collectés par le Shin Bet. Les services secrets israéliens ont leurs entrées à gaza...
A défaut de toujours les protéger (on l’a vu avec la défaillance des services secrets israéliens), Israël venge à chaque fois les siens. Pendant des années, des agents du Mossad ont traqué Eichmann, un des principaux artisans de la solution finale.
Finalement, ils l’ont retrouvé en Argentine puis ramené à Jérusalem où il a été pendu. Pendant des années, les services secrets israéliens ont pourchassé les assassins des athlètes israéliens lors des Jeux olympiques de Munich. Tous, les uns après les autres, ont été exécutés. Le même sort attend les tortionnaires du commando d’Ali Kachi !
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