Kévin Cormillot, 26 ans et militant RN, est mort d’un cancer<!-- --> | Atlantico.fr
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Kévin Cormillot, militant dijonnais du Rassemblement national, est décédé d’un cancer.
Kévin Cormillot, militant dijonnais du Rassemblement national, est décédé d’un cancer.
©Capture d'écran Twitter / DR

J’irai cracher sur vos tombes.

Et du côté de LFI, on insulte sa dépouille. Chez les Insoumis, on rit dans certains cimetières.

Benoît Rayski

Benoît Rayski

Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.

Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.

Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.

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Il est mort jeune et il mérite le respect. Marine Le Pen a présenté ses condoléances à sa famille. Certes, nul n’est tenu d’en faire autant. Mais au moins le silence aura pu s’imposer. C’était compter sans Allan Brunon, assistant parlementaire d’un député LFI. Les chrysanthèmes ce n’est pas son genre. Et il n’allait prendre le deuil pour un « fasciste ».

Il a donc tweeté ce qui suit : « Kévin Cormillot est allé rejoindre en enfer les Waffen-SS, fondateurs du Front National ». La vulgarité et l’indécence à leur comble ! Puis ayant craché sa petite saloperie, il a effacé son tweet. Nous nous autorisons à cracher sur Allan Brunon. 

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