Sport
Il est bizarre cet Olivier Giroud
Il chante la Marseillaise à tue-tête… On vous répète qu’il est bizarre.
Benoît Rayski
Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.
Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.
Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.
Olivier Giroud, avant le match contre l’Argentine, s’est confié au Figaro. Le choix de ce journal marqué à droite n’est certainement pas un hasard. Il l’a préféré à L’Equipe.
De ses confidences, on apprend ce qu’il mange au petit déjeuner, au déjeuner et au dîner. Ses étirements, sa sieste. Quelques mots sur sa femme Jennifer. Rien là de très extraordinaire. Puis vient la surprise.
Avant chaque match, Olivier Giroud prie. "J’aime me recueillir", dit-il. Un Bleu qui va à la messe comme c’est étrange. Ils ne sont pas nombreux dans son cas dans l’équipe de France.
Puis il aggrave sa situation en révélant qu’avant le début du match, il chante la Marseillaise.
"Je la chante le torse bombé et je chante fort pour ne pas faire de fausses notes".
On vous répète, il est bizarre. Il est un des rares à savoir que dans "équipe de France" il y a le mot "France" !
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