Hors artifices comptables, la dette allemande serait de 185% du PIB (soit autant que la Grèce...)

A propos de l’Allemagne qui s’apprête à proposer l’automatisation des sanctions financières pour les pays non vertueux, les analystes commencent à dénoncer les artifices utilisés par Berlin dans la présentation son déficit (« honteusement truqué » selon l'un d'eux), le Handelsblatt lui-même pointe que la dette allemande n'intègre pas la majeure partie des dépenses prévues pour les retraités, les malades et les personnes dépendantes, et que son vrai montant n’est pas de 2000 milliards, mais de 5000 Mds d’euros soit 185% du PIB… comme la Grèce.

A propos du sida dont le virus a tué plus de 30 millions de personnes dans le monde depuis 1981 et qui en 2011 touche 34 millions d’habitants de la planète (un record), 50% des malades ont maintenant accès au traitement et 2011 marque le plus bas niveau de nouvelles infections (2,7 millions) depuis le pic de 1997, même si l’Afrique Noire continue à concentrer presque 70% des malades (17% pour la seule Afrique du Sud).

A propos de Moody’s qui adresse un très sévère avertissement au sujet du AAA français pointant le renchérissement des conditions d’emprunt du trésor français comme un l’un des points les plus problématique de l’enclenchement d’un véritable désendettement de la France, par rapport à septembre 2011, les taux français (obligations du trésor à 10 ans) ont pris environ 1,1%, selon Moody’s chaque point de pourcentage supplémentaire équivaut à un surcoût de service de le dette de 3 milliards d’euros par an.