“Ce jour-là, 80% des détenus de la prison ont hurlé de joie”<!-- --> | Atlantico.fr
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En ce jour tragique, de novembre 2015 “80% de nos détenus ont laissé éclater leur joie” ont dit les gardiens.
En ce jour tragique, de novembre 2015 “80% de nos détenus ont laissé éclater leur joie” ont dit les gardiens.
©GERARD JULIEN / AFP

Attentat du Bataclan

On ne l’apprend que maintenant…

Benoît Rayski

Benoît Rayski

Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.

Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.

Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.

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Deux gardiens de prison viennent d’être interviewés à la télévision. Ce qu’ils racontent fait froid dans le dos. Et donne envie de vomir.

En ce jour tragique, de novembre 2015 “80% de nos détenus ont laissé éclater leur joie” ont dit les gardiens.

Qui étaient-ils ? D'après les gardiens “des radicalisés, mais aussi des musulmans ordinaires”. Doit-on en déduire que les 20% qui n’ont pas jubilé étaient des détenus Français de souche ?

Un tel déferlement de joie laisse pantois ! L’attentat du Bataclan, le plus horrible que nous ayons jamais connu. Des dizaines de jeunes sauvagement massacrés. Et peut-être même que parmi eux il y avait aussi des Arabes ?

Le Bataclan c’était, rappelons-le, en 2015. Depuis, certains des détenus qui ont fait preuve d’une joie abjecte ont dû être mis en liberté. Nous ne sommes pas très heureux de les savoir libres parmi nous.

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