Affaire Gayet : Hollande regretterait d’avoir fixé l’échéance du 11 février<!-- --> | Atlantico.fr
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Julie Gayet.
Julie Gayet.
©Reuters

Confidentiel

La first lady serait prête à passer l’éponge sur ce que des millions de Français considèrent comme une humiliation pour sauver son couple.

Si le compte à rebours a commencé, nul ne sait encore avec certitude ce qui va advenir du couple élyséen et s’il y a encore une Première dame au Château. « Le processus va être long. Valérie se bat, ce qui n’était pas prévu par le Président », confie un proche du couple qui ajoute : « François regrette d’avoir fixé l’échéance du 11 février, date de son voyage aux Etats-Unis (NDLR : avant laquelle il doit avoir clarifié sa situation). Il s’est rendu prisonnier d’un truc qu’il ne maîtrise pas ».

Selon nos informations, au moment de la conférence de presse, lorsque le président aborde le sujet, il pense que la décantation va se faire quasi automatiquement. En clair, que Valérie Trierweiler, devant l’absence de démenti de son compagnon aux informations de Closer, prendra acte de la nouvelle donne et quittera l’Elysée d’elle-même. De toute évidence, il n’en est rien. La first lady serait même prête à passer l’éponge sur ce que des millions de Français considèrent pourtant comme une humiliation, pour sauver son couple.

« Vu la complexité du dossier, on ne peut même pas exclure que François emmène Valérie aux Etats-Unis, confie cet ami du Chef de l’État, pour faire baisser la pression et prendre le temps de réorganiser sa vie dans le calme ». Une solution mi chèvre, mi chou, qui correspondrait assez bien au style Hollande...

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