Accusé de viol un migrant relâché au bout de 24 h ! Et vous ne devinerez jamais qui proteste ? <!-- --> | Atlantico.fr
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Cédric Herrou
Cédric Herrou
©PHILIPPE DESMAZES / AFP

Chronique gentiment migratoire

Attendez vous à être surpris.

Benoît Rayski

Benoît Rayski

Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.

Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.

Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.

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Un migrant était accusé de viol sur la côte niçoise. La police l'a relâché après 24 de garde à vue. Pourtant, non content de violer la jeune femme, il l'avait violememnt frappée. 
Ce fâcheux laxisme avait de quoi indigner. On attendait des protestations véhémentes de la part des zemmouriens, des lepenistes et d'autres identitaires. Pas du tout. 
Celui qui proteste c'est Cédric Herrou. Il est connu pour être un passeur de migrants. Alors qu'est ce qu'il lui a pris ? C'est très simple : la fille violée était une amie à lui ! On comprend que s'il s'était agi d'une inconnue, il aurait gardé le silence. Car les migrants, ont selon lui, des besoins sexuels à satisfaire. 
Et ici, il convient de citer encore une fois Bossuet : "Dieu se rit des hommes qui se plaignent des effets dont ils chérissent les causes". Mais l'affaire ne s'arrête pas là. Le lepeniste Damien Rieux s'était à cette occasion moqué de Cédric Herrou. Ce dernier a répliqué en lui envoyant un direct dans les gencives : "le violeur était un suprémaciste blanc". Ah s'il avait été noir ou arabe... 

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