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"Pop Art. Icons that Matter" : l'aube d'une nouvelle Amérique
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Atlanti-culture

Catherine Stucki pour Culture-Tops

Catherine Stucki pour Culture-Tops

Catherine Stucki est chroniqueuse pour Culture-Tops.

Culture-Tops est un site de chroniques couvrant l'ensemble de l'activité culturelle (théâtre, One Man Shows, opéras, ballets, spectacles divers, cinéma, expos, livres, etc.).
Voir la bio »

«  Pop Art. Icons that Matter. Collection du Whitney Museum of American Art »

INFORMATIONS

Musée Maillol 

61 rue de Grenelle 75007 Paris

jusqu’au 21 janvier 2018

Tlj. de 10h30 à 18h30 – Nocturne le ven. jusqu’à 21h30
Tarif : 13 € - Tarif réduit : 11 €

RECOMMANDATION

EXCELLENT

THEME

Une soixantaine d’œuvres, 24 artistes incarnant le début du Pop Art, ce mouvement artistique inspiré de la société de consommation. Peintures, sculptures, impressions.

Des pièces maîtresses de ce mouvement sont ainsi présentées pour la première fois à Paris, au Musée Maillol. 

La collection du Whitney Museum of American Art, de New York, offre une véritable anthologie de l’art américain du XXe siècle.  Une collection initiée par la  sculptrice et mécène, Gertrude Vanderbilt Whitney (1875-1942),

POINTS FORTS

- Une exposition pédagogique avec des explications claires et simples qui nous permettent de mieux comprendre l’histoire du Pop Art et de découvrir plusieurs icônes de l' Amérique d’après guerre ainsi que des artistes moins connus, voire inconnus, que nous découvrons avec plaisir.

Il y a donc les figures majeures du mouvement comme Robert Rauschenberg et Jasper Johns, des sculptures et toiles de Claes Oldenburg, Tom Wesselmann, James Rosenquist et Alex Katz, en passant par les sérigraphies d’Andy Warhol, les peintures de Jim Dine et de Roy Lichtenstein, 

Mais cette exposition va également nous permettre de découvrir des artistes  comme George Segal, Rosalyn Drexler, May Stevens, John Wesley... 

On approuve cet éclectisme.

- Autre point fort: des photos géantes de New York nous accueillent dans chaque salle. C’est comme si nous y étions !

POINTS FAIBLES

- Les explications à chaque changement de salle ou d’artistes sont si intéressantes que cela bloque un peu la fluidité de l’expo, d’autant que certaines salles sont petites. Rançon de la gloire...

- Un regret: Rosenquist, Jasper Johns ne sont malheureusement pas représentés par leurs grands tableaux qui, souvent de grande dimension, étaient impossibles à présenter dans les salles du musée Maillol.

EN DEUX MOTS

Le pop art vibre là, à souhait, et raconte l’Amérique entre consommation et politique, rejet du puritanisme et guerre du Vietnam.

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