Sexe : un homme sur cinq "s'attend à coucher" s'il paye une addition de plus de 100 euros lors d'un rendez-vous galant<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Insolite
Un homme sur cinq "s'attend" à coucher avec sa nouvelle partenaire s'il paye une addition de plus de 100 livres (environ 117 euros).
Un homme sur cinq "s'attend" à coucher avec sa nouvelle partenaire s'il paye une addition de plus de 100 livres (environ 117 euros).
©Reuters

Laisse, je t'invite...

Et dans une moindre mesure, ils n'ont pas tout à fait tort...

En moyenne, les hommes espèrent coucher avec leur nouvelle conquête au bout du troisième rendez-vous. La plupart des femmes attendent, elles, le cinquième rendez-vous pour sauter le pas. Pour "faire la moyenne" et tenter de précipiter les choses, certains hommes n'hésitent pas à mettre la main au portefeuille : selon une étude relayée par le Daily Mail, un mâle sur cinq "s'attend à coucher" avec sa nouvelle partenaire s'il paye une addition de plus de 100 livres (environ 117 euros).

Et dans une moindre mesure, ils n'ont pas tout à fait tort : le pourcentage est faible, certes, mais 7% des femmes affirment tout de même qu'elles se sentent "obligées" de coucher avec un homme qui s'est montré aussi généreux...

Autre découverte de cette étude réalisée auprès de 2 000 personnes : nous dépensons en moyenne 47 livres (55 euros) lors d'un premier rendez-vous, et les hommes sont généralement contents de dépenser plus que les femmes. La moitié des hommes se feront même un plaisir de dépenser plus de 60 euros, contre seulement 17% des femmes.

Ce sont aussi les hommes, dans leur immense majorité, qui payent l'addition lors du premier rendez-vous. Les couples font en général moitié-moitié à partir du deuxième rendez-vous, note l'étude. Ce qui explique peut-être pourquoi les femmes ne sont que 3% à se préoccuper de l'addition au premier rendez-vous, contre 69% des hommes...

Lu sur The Daily Mail

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !