Russie : une pluie de météorites crée la panique dans l'Oural VIDEO <!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
Une pluie de météorites a semé la panique en Russie.
Une pluie de météorites a semé la panique en Russie.
©DR

Météo

L’évènement a fait plus de 250 blessés selon les autorités russes.

Une pluie de météorites en Russie ? Non, il ne s'agit pas d'un film à grand spectacle mais d'une scène bien réelle. Une pluie de météorites causée par la destruction d'un météorite au-dessus de la région de l'Oural a en effet été signalée très tôt ce vendredi matin en Russie. Si les autorités russes n'ont toujours pas fourni beaucoup d'informations, la pluie de météorites semble avoir provoquer de nombreux dégâts qui restent encore à évaluer.

Accompagnée de violentes explosions, la pluie de météorites a blessé près d'une cinquantaine de personnes, soufflé les fenêtres dans plusieurs villes et donc provoqué la panique au sein des localités touchées. De nombreux témoignages évoquent une puissante explosion. C'est notamment le cas d'un journaliste de l'agence Reuters qui assure avoir ressenti une secousse dans un immeuble de 19 étages.

L'agence Interfax, citant notamment l'administration de la région de Tcheliabinsk, explique ainsi dans un communiqué qu'"à 11 heures locales (6 heures, heure française, NDLR), nous avons de nombreux appels pour des traumatismes, des coupures et des contusions".  L'agence a ajouté que l'onde de choc a soufflé les vitres du bureau d'Itar-Tass dans le centre de Tcheliabinsk.

Un employé, toujours cité par Interfax, assure qu'un mur s'est effondré dans une usine de Tcheliabinsk.

20 000 hommes seraient déjà mobilisés par le ministère des Situations d'urgence et placés en état d'alerte même si le ministère a expliqué sur son site qu'"il n'y a pas d'évacuation de la population, le niveau de radioactivité est dans la norme" demandant "instamment de ne pas céder à la panique".

Plusieurs vidéos ont par ailleurs été prises puis postées sur Internet. 

Lu sur Le Nouvel Observateur

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !