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 "J’ai d’abord tenté 
de lui serrer la main"
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Sarkozy agressé

Hermann Fuster, l'homme qui a empoigné le président lors d'un déplacement, confie ses regrets au Parisien.

Hermann Fuster, l'auteur de l'agression visant Nicolas Sarkozy survenue le 30 juin lors d'une visite dans le Lot-et-Garonne, s'explique ce lundi 11 juillet dans les colonnes du Parisien. Ressorti libre du tribunal d'Agen - il a écopé de six mois de prison avec sursis - il dit regretter son geste, et n'avoir jamais eu l'intention de s'en prendre au chef de l'Etat.

"J’avais juste envie de lui dire que je n’aimais pas sa politique. Il n’a jamais été question de l’agresser.", explique Hermann Fuster, qui raconte comment son look "rock" avait éveillé la vigilance des services de sécurité.

Mais, à l'en croire, toute cette histoire ne serait qu'un gigantesque malentendu : "J’ai d’abord tenté de lui serrer la main pour engager la conversation. Il est passé devant moi sans la serrer. Du coup, j’ai voulu lui taper sur l’épaule, toujours avec cette idée d’attirer son attention. Mais, au moment où ma main a touché son costume, les gardes postés derrière moi m’ont attrapé et projeté en arrière. Comme toute personne qui bascule en arrière, j’ai tenté de m’accrocher à quelque chose pour éviter de tomber.", assure l'ex-employé du conservatoire municipal d'Agen.


Toutefois, la mésaventure aurait tout de même eu des effets bénéfiques : "j’ai arrêté de fumer du cannabis et je sors davantage avec des amis au lieu de rester seul chez moi", se félicite Hermann Fuster.

Lu sur Le Parisien

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