Kendall Jones, pom-pom girl et chasseuse : elle expose ses "trophées", le web s’enflamme<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Insolite
Kendall Jonse fait polémique sur les réseaux sociaux
Kendall Jonse fait polémique sur les réseaux sociaux
©D.R

Polémique

Cette jeune femme de 19 ans s’est attirée les foudres des internautes après avoir posté sur Facebook des photos d’elles en compagnie d’animaux morts.

Les défenseurs de la cause animale ont déclaré la guerre à une jeune Texane, Kendall Jones. La raison ? La publication  sur son compte Facebook de photos où elle pose, arme sur l’épaule, aux côtés de cadavres d'animaux sauvages chassés en Afrique. Comme le relate FranceTv Info, la jeune femme de 19 ans, par ailleurs étudiante en marketing et thérapie sportive et pom-pom girl, doit faire face à un flot de réactions indignées. Notamment après la publication d'une photo d'un rhinocéros, qui a scandalisé les défenseurs des animaux. L'animal a seulement été endormi, assure-t-elle pour se défendre, "afin de lui prélever du sang et de l'ADN, d'installer une puce sur lui et de traiter une blessure massive à la jambe".


"Je savais en postant ces photos qu'il y aurait des gens contre moi, raconte-t-elle au Cleburne Times-Review (en anglais), dans des propos relayés par FranceTV info. Je suis choqué de voir à quel point les gens sont grossiers en m'insultant. J'ai reçu plusieurs menaces de mort." Kendall Jones poursuit ses explications : "Enfant je suivais mon père dans toutes ses aventures de chasse, en le regardant dans notre ranch et en voyageant avec lui en Afrique. (...) Même si je voulais terriblement abattre quelque chose, j'étais trop petite pour tenir les armes que mon père avait apportées".

Malgré cette passion pour la chasse, elle assure défendre les animaux. Dans un communiqué, ses proches affirment que toutes ses parties de chasse au Zimbabwe et en Afrique du Sud sont "100% légales", qu'elles respectent les quotas fixés par les autorités et qu'elles financent l'économie locale et contribuent même à la conservation des espèces.

lu sur FranceTV Info

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !