Au temps du Pléistocène, les êtres humains pouvaient se livrer aux pratiques cannibales. Une étude réalisée par James Cole, archéologue à l'Université de Brighton et publiée dans la revue Scientific Reports montre que la viande issue de la chaire humaine était moins nutritive que la viande d’origine animale. Cette découverte amène à se poser la question de savoir à quoi répondait la pratique du cannibalisme.
14 avril 2017