Canular Bedos/Trierweiler : Hollande aurait rappelé l'humoriste, le CSA s'en mêle

L'information a fait l'effet d'une bombe. Une déflagration qui en quelques secondes a été largement commentée sur les réseaux sociaux  : Valérie Trierweiler et Nicolas Bedos auraient été en couple pendant quelques mois ! Une pseudo-révélation qui a eu lieu mercredi soir dans l'émission "Un soir à la Tour Eiffel" présentée par Alessandra Sublet. Retour sur un canular.

Hier soir, lors de ladite émission, la journaliste présente ce qui est censé être le prochain livre de l'écrivain. Celui-ci aurait été écrit dans le plus grand des secrets et livré de manière très confidentielle. Il faut dire qu'à l'intérieur il y aurait LE scoop de l'année. En effet dans ce livre "Les serments déchirés", Nicolas Bedos se confie sur sa relation secrète avec Valérie Trierweiler alors même que la Première dame était encore en couple avec François Hollande. Pour rendre ce mensonge plus crédible, de vrais-faux passages du livre sont lus par Alessandra Sublet. Suffisant pour que les réseaux sociaux s'agitent.

Sauf qu'à la fin de l'émission, Nicolas Bedos revient sur cette histoire et avoue le pot-aux-roses. "C'est une grosse connerie, je me suis permis de te soumettre ce texte, Alexandra, car c'était ma façon à moi de répondre à la peoplisation de la politique que certains nous imposent, ce mélange de totale bouillabaisse entre privée et public, entre le glauque et l'intime." Et de conclure : "Je n'ai jamais eu de relation avec Valérie Trierweiler, pour une raison très profonde, ce n'est pas mon genre physiquement."

Selon iTele, le CSA n'a visiblement pas apprécié la plaisanterie et devrait se saisir du dossier, confirmé par d'autres médias par la suite.

Le CSA se saisit de l'affaire du canular de Nicolas Bedos sur France 2 hier soir (@itele) #Trierweilerpic.twitter.com/cTFANQaSxN

— itele (@itele) 9 Octobre 2014

Nicolas Bedos a de son côté assuré que François Hollande l'a appelé à la suite de cette supercherie - "et ce n'est pas un canular", note-t-il auprès du "Scan Télé". La conversation, d'abord "virulente", a finalement pris un tour "très sympathique et drôle", selon les dires du principal intéressé.