Alain Finkielkraut vs Edwy Plenel : y a-t-il un problème de l'islam en France ?<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Société
Crédits Photo: Capture vidéo
Alain Finkielkraut vs Edwy Plenel : y a-t-il un problème de l'islam en France ?

Clash royal

Alain Finkielkraut vs Edwy Plenel : y a-t-il un problème de l'islam en France ?

Le débat proposé par l'émission "28 Minutes" sur ARTE a été à la hauteur des espérances : tendu, voire houleux, et très commenté.

C'est un plateau particulièrement prestigieux qui a été proposé par l'émission bi-média d'ARTE "28 Minutes" ce mardi soir : un débat entre le fondateur de Mediapart Edwy Plenel et le philosophe Alain Finkielkraut sur le thème de l'islam. Une affiche haut de gamme qui n'a déçu personne...

Les thématiques de l'intégration et de l'islamophobie ont, sans surprise, particulièrement inspiré les deux débatteurs. Au "Vous faites l'impasse sur l'expansion de l'antisémitisme musulman" lancé par Alain Finkielkraut, Edwy Plenel lui oppose que "les premières victimes des totalitarismes musulmans sont les musulmans eux-mêmes" – constat sur lequel le philosophe a précisé : "Les musulmans modérés qui veulent s'intégrer sont les premières victimes de cet islamisme".

Mais les points d'accord, bien rares, ont été étouffés par des formules choc : "Vous mettez en guerre les Français contre eux-mêmes, au lieu de nous prendre tels que nous sommes", assène le journaliste à l'égard du philosophe, qui lui a répondu qu'il était un "journaliste fouille-merde"... La confrontation d'idées, pour le moins vive, s'est conclue de manière particulièrement orageuse : "avec un dreyfusard comme Edwy Plenel, les juifs n'ont pas besoin d'antisémitisme", a sorti le philosophe, bouillonnant. Ambiance délicieuse...

Vu sur "28 Minutes"

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !