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Vincent Cassel/Monica Bellucci : les vraies raisons de leur séparation, Jean Dujardin/Alexandra Lamy : le chassé-croisé, Monaco : le mariage caché
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Revue de presse people

Mais aussi Bradley Cooper en Humbert Humbert courant la Lolita, Nicolas Bedos, “ le misogyne ”, chroniqueur à “ Elle ” et, et, et… un étrange parricide en plein Saint-Germain-des-Prés. Hou, y’a du biscuit, ce samedi !

Barbara Lambert

Barbara Lambert

Barbara Lambert a goûté à l'édition et enseigné la littérature anglaise et américaine avant de devenir journaliste à "Livres Hebdo". Elle est aujourd'hui responsable des rubriques société/idées d'Atlantico.fr.

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Et un mariage de plus, un, sur le Rocher ! Ahaaa ? Et il s’agit de qui, cette fois ? Ne me dites pas… ne me dites pas… Non ! On ne s’affole pas, il ne s’agit pas de Charlotte et de Gad, seulement de Tatiana et d’Andrea. Qui ça ? Tatiana Santo Domingo et Andrea Casiraghi, le fils aîné de Caroline. Ah, oui… heu, ils auraient pas déjà un bébé ? Si fait, si fait : “ le petit Sacha, (né) le 21 mars dernier à Londres ”, nous rappelle “ Gala ”. Décidément, comme quoi… hum, reprenons-nous, reprenons-nous. Et ce mariage, alors, ça va encore être grand flonflon, avec salut du balcon, grand messe audiovisuelle, et tout, et tout ? Hé bé, non. Hé bé, pourquoi ?

Une cérémonie sous haute protection

“ Gala ” nous l’apprend : la cérémonie, prévue aujourd’hui, se fera “ sous haute protection ”. Ah bon ? “ Les beautiful people conviés aux noces civiles du fils aîné de la princesse Caroline et de son second mari, Stefano Casiraghi, ont reçu leur carton d’invitation depuis fin juillet, nous informe le mag. Ils seront environ quatre cents témoins privilégiés de l’engagement des jeunes mariés. Suivie d’un brunch dans les jardins du palais, la cérémonie, très privée selon le souhait du couple, devrait se poursuivre pour cent cinquante happy few au Sporting d’hiver (sublime bâtiment Art déco voisin de L’Hôtel de Paris et qui sera bientôt démoli au profit d’un impressionnant projet d’urbanisme). La petite sœur d’Andrea, Charlotte, qui lui avait présenté Tatiana en 2004 (elles fréquentaient alors toutes les deux le lycée international de Fontainebleau, au sud de Paris), pourrait assumer le rôle très convoité de témoin de la mariée ”. OK : ça, c’est pour le mariage civil. Mais pour le religieux ? Vont mettre le paquet, là… ? Faut voir : d’après “ Gala ”, il “ pourrait avoir lieu l’hiver prochain, à Gstaad, en même temps que le baptême de leur petit garçon ”. Hou, ce serait cro mignon.

Vincent Cassel a passé l’été seul avec les enfants

Un couple se lie, un autre se délie. L’info est tombée lundi et nous a tous filé un méchant coup de bourdon : Monica Bellucci et Vincent Cassel, c’est fini. Deux jours avant l’annonce officielle de leur séparation par leurs agents respectifs, “ Closer ” balançait l’info urbi et orbi en exclusivité : “ Chaque été, ils passaient leurs vacances sur la côte basque. Un rituel incontournable, commençait le journal. Pourtant, en ce mois d’août 2013, Vincent et ses deux filles, Deva, 8 ans, et Léonie, bientôt 3 ans, se sont installés dans la maison que le couple possède dans les environs de Biarritz. Seuls. Fan de surf, Vincent a initié sa fille Deva à ce sport de glisse. Pourquoi Monica n’était pas avec eux ? Officiellement, l’actrice de bientôt 49 ans est en Bosnie, tournant un nouveau film sous la direction d’Emir Kusturica. Officieusement, elle n’avait pas envie de se retrouver en tête à tête avec Vincent. Quelques amis proches ont été mis dans la confidence. Vincent et Monica ont décidé de se séparer ”. Hou, ça fait mal ! Mais que s’est-il donc passé ?

Les vraies raisons de leur séparation

“ Voici ” a la réponse ! “ Les vraies raisons de leur rupture ”, claironne le people en couverture. Houlà, houlà, mais que va-t-on apprendre-là ? Comme “ Closer ” une semaine plus tôt, le mag indique que le couple a fait vacances à part et enchaîne : “ Déjà qu’ils ne se voyaient pas beaucoup ! Il faut dire qu’ils n’avaient pas choisi la facilité, menant chacun leur carrière dans leur coin, entre la France, l’Italie, l’Angleterre et le Brésil. Quitte à ne plus se croiser… Une façon d’éviter les conflits, certes, mais le plus sûr moyen de se perdre aussi. “ Nous sommes dans deux mondes différents et souvent ne partageons rien. Nous ne sommes pas ensemble tout le temps, ses amis sont les siens, les miens sont différents ”. C’est l’amer constat que la belle dressait dans le “ Vanity Fair ” espagnol en février 2013. Lucide, et sans doute déjà convaincue de l’inévitable rupture ”. Et ? Et c’est tout : “ Trop libre, leur couple a explosé ”, conclut le people. Mouais… on veut bien, ça mange pas de pain, hein ? En même temps, “ Voiçaï ”, “ Voicaï ”, tu nous as habitué à mieux… De là à donner du crédit à l’explication avancée par “ Public ”…

Pourquoi Monica a craqué

D’après “ Public ”, en effet, si le couple s’est séparé, c’est parce que “ Monica a craqué ”. Et le journal de mettre en exergue à son article deux citations de la comédienne, la première datée de 1996 : “ Avec Vincent, nous ne vivons pas en couple. C’est une vie désorganisée. Chacun sa loi ou plus exactement pas de lois ”, la seconde de 2013 : “ J’ai découvert que je suis beaucoup moins indépendante et libre que je ne le croyais ”. Vu comme ça, c’est sûr, l’affaire ne fait pas un pli : c’est Monica le dindon de la farce. Reste qu’une citation sortie de son contexte, ça peut vouloir dire tout et n’importe quoi… Le hic, car il y a un hic, c’est que “ Public ” avance un nouvel élément, plutôt contrariant : “ selon des proches, affirme en effet le mag, depuis quelque temps déjà, Vincent Cassel aurait refait sa vie avec une actrice brésilienne rencontrée sur un tournage ”. Wow, rien que ça ! Info ou intox ? Perso, on demande à voir. L’en faut un peu plus, quand même, pour y croire…

Alexandra Lamy : la maman en maillot de bain

C’est aussi leur premier été, séparés. A en juger par les photos d’Alexandra Lamy en maillot de bain que publie “ Voici ”, l’ex de Jean Dujardin va bien : dorée ce qu’il faut, le ventre plat, la cuisse fuselée, la fesse rebondie et le soutif bien garni, la belle fait envie. Aurait-elle fait des folies de son corps ? Que nenni ! D’après le journal, elle est restée tout ce qu’il y a de sage. “ Après une rupture, chacun a sa façon de se reconstruire, note le mag. Alexandra Lamy, elle, a choisi de relever la tête et de se recentrer sur l’essentiel : Chloé, sa fille de 15 ans ! Après avoir sagement passé le mois de juillet dans les Cévennes, à Anduze, où la famille a ses attaches, c’est à Calvi, en Corse, le 17 août, que l’actrice a débarqué avec les copines de l’adolescente, histoire de former une vraie petite bande. Au menu ? Plage, bonnes bouffes et crises de rire, avec plein de photos, de grimaces et de tweets postés à la terre entière ”. Pour un peu, ça ressemblerait à une vraie campagne de pub, tout ce bonheur affiché… Ceci dit, tout ce qu’on espère, c’est qu’il soit vrai.

Jean et Alex : le chassé-croisé

Et que faisait Jean pendant ce temps ? Zallez pas le croire : exactement la même chose ! Ou à peu près. Une chose est sûre : avec Alex, ils ne se sont pas croisés, même si leurs lieux de vacances étaient les mêmes. “ Pendant qu’Alex était à Anduze avec sa fille, explique “ Voici ”, Jean était à Calvi (souvenez-vous avec Nicolas Bedos). Et quand Alex est partie à Calvi, Jean a filé à Anduze avec ses deux fils, Simon, 13 ans, et Jules, 12 ans. Entre hommes. Des vacances salvatrices pour le comédien qui — succès oblige — n’a pas beaucoup profité de ses garçons ces deux dernières années. Là, il a tout donné, privilégiant le dialogue et la complicité. Il y a quelques jours, Jean les a amenés lui-même à la gare de Nîmes prendre un TGV pour Paris ”. Si c’est pas beau, ça…

Nicolas Bedos : “ Un misogyne à “ Elle ” ? ”

Et puisque “ Voici ” évoquait Nicolas Bedos, parlons-en. Grôsse, très grôsse nouvelle ! En cet automne 2013, le fils de Guy Bedos a décidé de frapper un grand coup : il… il… IL ? ! Il a accepté de devenir chroniqueur à “ Elle ”. Hou, c’est chaud, ça… Chaud-bouillant, oui, comme le titre de son billet, “ Un misogyne à “ Elle ” ? ”, forcément décalé-décalquant, forcément subtil et forcément brillant. “ Comment peut-on dire ça d’un ex-bébé sorti en souriant d’un sexe féminin (et qui, toute sa vie, rêvera de faire le chemin à rebrousse-poil) ?, se défend-il d’entrée. J’ai toujours été du côté des femmes. (…) Quand j’étais gosse, l’autre mec de la maison préférait faire rire des milliers de gens pour nourrir sa famille que de faire rire sa famille pour nourrir des milliers de gens. J’éprouverai dès lors un mépris souverain pour ces types obligés de travailler quand il leur suffirait d’épouser un humoriste. Afin que je lui pardonne ses excès d’absence, il me laissait ses deux filles et sa femme. Deux bombes et une grenade. Dans le bain, parmi elles, j’étais moins surpris de ne leur deviner aucune bite que de n’avoir pas moi-même une chatte. Ce sont elles qui m’ont dit quoi porter, quoi lire et quoi penser de mes fonctions masculines ”. Hou, ça démarre fort. Ca ferait le régal d’un psy. Ca doit moins faire la joie de papa. Quant à savoir si ça nous réjouit… C’est malheureusement pas fini.

“ Un soir, un garçon éjacula sur mon visage ensommeillé ”

“ Au collège, poursuit-il, les sans-chatte (m’évitaient) parce que j’étais devenu très prétentieux à cause des filles qui me trouvaient “ beau et gentil ” malgré le fait que leurs parents aient voté pour Chirac en 1995. Les garçons me disaient : “ C’est pas parce que ton père est connu que… ” ; les filles, elles, me disaient “ tu veux voir mes seins ? ”. Du coup, j’ai pris l’habitude de préférer les filles aux baffes. Vers 16 ans, comme je pensais davantage à l’origine du monde qu’à la fin de mes études, mes parents m’envoyèrent dans une pension où je fus obligé de dormir avec d’autres garçons tellement fiers de n’avoir pas de chatte qu’un soir l’un d’eux éjacula sur mon visage ensommeillé ”. Mais, ma parole, il a été traumatisé, enfant, le petit Nicolas…

“ J’avais une chatte, puis une bite, puis une chatte : le bonheur ”

“ En devenant l’unique homme de plein de filles, continue le fils de "l'humoriste", mon plan était d’éradiquer la race masculine (qui avait, dois-je le rappeler, refusé de m’inviter à sa boum avant de me juter à la gueule). A 23 ans, alors qu’aucun directeur de théâtre n’acceptait de monter mes pièces au sujet des hommes qui préfèrent les femmes, c’est à nouveau l’une d’elles qui me sortit de la mouise en me faisant avaler mon premier grain de caviar. (…) En écrivant des pièces à deux personnages, j’avais une chatte, puis une bite, puis une chatte : le bonheur. A la fin, ils se réconciliaient et je vivais un double orgasme : l’extase. (…) Bref, il y a fort longtemps que je rêvais d’écrire dans “ Elle ”, pour elles, sur elles, à elles. Alors si, de temps en temps, je verse dans la misogynie, c’est que les femmes que j’aime ont une saine horreur d’être prises pour un con ”. Wow, la chute ! Le jeu de mot sur “ con ” : trop fort ! Et le message “ mesdames, non seulement, je vous aime, mais je vous respecte ” : ré-vo-lu-tion-nai-re ! C’est beau, tiens, comme du Julien Clerc. Quant à savoir s’il était utile et nécessaire d’avaler tout ça —  au propre comme au figuré — pour en arriver là…

Bradley Cooper en Humbert Humbert pervers pépère

Amoureux des femmes, Bradley Cooper ? “ Désolé pour celles qui ne le savaient pas, sourit “ Voici ”, mais Bradley Cooper, 38 ans, n’est plus un cœur à prendre. Depuis quelques mois, il vit une grande histoire avec Suki Waterhouse, un joli top-model de… 21 ans. Et aux dires de ceux qui les ont reconnus au jardin du Luxembourg, dimanche dernier à Paris, leur duo est totalement romanesque. La preuve ? Plongé dans la lecture de “ Lolita ”, de Nabokov — l’histoire d’un homme d’âge mûr qui fond pour une nymphette —, l’acteur en lisait des passages à sa belle, l’air pénétré. Une situation presque schizophrénique pour Bradley qui, entre deux paragraphes, relevait les yeux vers sa jeune compagne, et se demandait s’il n’était pas lui-même le héros de son livre, Humbert Humbert ”. Et le magazine de nous montrer, photos à l’appui, pervers pépère en action : “ Tête enfouie entre les seins, main baladeuse sur les cuisses et baisers enfiévrés… Une chose est sûre, conclut-il : le plus francophile des acteurs hollywoodiens a trouvé sa happiness therapy ”. Hi, hi, hi.

Parricide à Saint-Germain-des-Prés

Un fait divers pour finir ? Pas n’importe quel fait divers : un parricide. Et dans le beau monde, qui plus est. “ Du 2 au 6 septembre, nous apprend “ VSD ”, les jurés de la cour d’assises des mineurs de Paris vont tenter de découvrir (…) pourquoi Lucas, alors âgé de 17 ans, a demandé à son copain Dany Manfoumbi, 25 ans, d’assassiner son père Bernard Mazières, 60 ans. Cet ancien journaliste politique a en effet été retrouvé mort le 24 décembre 2010 dans son appartement parisien. (…) Lors de leur garde à vue au 36, quai des Orfèvres, le 29 décembre 2010, Lucas et son complice ont rapidement avoué avoir organisé l’assassinat de Bernard Mazières, lequel avait passé la soirée avec des amis, parmi lesquels son voisin, le comédien Vincent Lindon ”. Ah oui, quand même…

Un meurtre avoué au mobile mystérieux

“ Après avoir acheté dans l’après-midi un cutter et un marteau, relate le mag, le duo s’est rendu dans la nuit à l’appartement de l’ancien journaliste de “ L’Express ” et du “ Parisien ”, place Saint-Sulpice, dans le très bourgeois 6e arrondissement, à 100 mètres du commissariat de police. Dany Manfoumbi s’est introduit seul chez Bernard Mazières et l’a poignardé à la gorge avant de le frapper à la tête avec son outil. Il a ensuite dérobé son portefeuille pour faire croire à un cambriolage ayant mal tourné. (…) Lucas a mis en avant un fort ressentiment envers ce père strict mais il n’a pas su véritablement en donner les raisons. (…) Selon l’entourage de l’adolescent, son malaise aurait commencé par un épisode dépressif en 2009, suivi de résultats scolaires en baisse. (…) S’ajoute le décès traumatisant, en août 2010, d’un grand-père maternel qu’il affectionnait. “ Bernard essayait de cadrer son fils et lui mettait la pression au niveau de sa scolarité ”, souffle un proche, incrédule. “ Mais Lucas aimait son père et c’était réciproque ”.

Des tests ADN ont révélé que Lucas n’était pas le fils biologique de Bernard Mazières

“ Pourquoi le lycéen a-t-il décidé, fin décembre, de signer son arrêt de mort ? s’interroge “ VSD ”. “ On n’a rien vu venir ”, se désole un parent. “ Les ressorts de cette affaire se situent dans les relations excessivement complexes sur un plan psychologique et humain entre Lucas et les autres membres de sa famille au sens large. Cela relève de la tragédie, pas du crime ”, lâche, énigmatique, Me Grégoire Lafarge, son avocat, qui ne veut pas en dire plus. Des tests ADN réalisés lors de l’enquête ont révélé que Lucas n’était pas le fils biologique de Bernard Mazières, ce que tout le monde ignorait au moment du crime ”.

Quand Dany Manfoumbi fait frissonner ses copains en racontant qu’il a égorgé un étudiant en droit

“ Les proches de Lucas, continue le journal, tentent aujourd’hui de se convaincre que ce drame n’aurait pas eu lieu si le jeune homme, décrit comme influençable, n’avait pas croisé Dany Manfoumbi, un jeune Franco-Gabonais accro aux drogues, à l’alcool et aux médicaments, habitué des soirées des jeunes bourgeois parisiens. Ce dandy, aussi mythomane que mégalo, se vante d’être le fils d’un ambassadeur et fait frissonner ses copains en racontant qu’il a autrefois égorgé un étudiant en droit. Lors de cette agression survenue le 22 février 2009 au domicile du jeune homme croisé la veille dans une soirée, il lui taillade la gorge et lui lance être soi-disant payé par un homme emprisonné à cause de lui. Il abandonne sa victime blessée à qui il vole un ordinateur, une centaine d’euros et quelques grammes de cannabis ”. Etrange similitude. Mais l’étudiant n’est pas mort, heureusement, lui.

Un psychotique avéré

“ Mis en examen pour “ tentative d’homicide ”, (Dany) est pourtant laissé libre sous contrôle judiciaire contre l’avis du parquet, reprend l’hebdo. L’enquête de personnalité révèle que Dany Manfoumbi a été élevé au Gabon, loin de ses parents séparés, par une grand-mère paternelle brutale et qu’il a été violé à 6 ans par un cousin et un ami. L’expert psychologue s’inquiète de ses hallucinations visuelles, de ses étranges monologues, de ses angoisses de mort qui l’étouffent et diagnostique chez ce garçon déséquilibré, auteur de plusieurs tentatives de suicide, des “ troubles psychologiques graves ” et “ une psychose avérée ”. (…) En octobre 2010, sa tentative de meurtre contre l’étudiant est requalifiée en “ vols avec violence ”, ce qui lui permet ainsi d’échapper aux assises. Deux mois plus tard, il assassine Bernard Mazières sans aucune contrepartie. “ J’ai voulu rendre service ”, dit-il en substance aux policiers ”. 

Dany et Lucas risquent la prison à perpétuité

Considéré comme une “ grenade dégoupillée ” par un expert, Dany “ Hunter ” (le surnom qu’il s’est inventé, ndlr) aurait inconsciemment agi pour venger un abandon paternel traumatisant ”. Qui fait étrangement écho au fait que Bernard Mazières n’était pas le père biologique de Lucas… On dit ça, on dit rien, c’est notre psychologie de bazar. Dany, conclut “ VSD ”, “ risque la réclusion criminelle à perpétuité, tout comme Lucas, qui a obtenu la mention bien à son bac L passé en prison, et qui étudie la philosophie et les arts plastiques. Si l’excuse de minorité lui est accordée, la peine encourue sera ramenée à vingt ans ”. Si c’est pas monstrueux, cette histoire. Pauvres, pauvres, pauvres gamins. Que dire, que faire, face à ça ? Allez, cheerio : la semaine prochaine, c’est la rentrée, embrassez vos poussins, dites-leur, montrez-leur, que vous les aimez, que vous ne les abandonnerez jamais — mais ne les couvez-gâtez-pourrissez pas, hein ? Pour les aider dans la vie, ça ne les aiderait franchement pas. Parce que ce qu’il faut leur apprendre, c’est savoir se bagarrer. Bon week-end, bonne semaine, les Mickey !

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