Produire de l’électricité en mâchant, c’est possible ! ; en bref : la Nasa choisit Boeing et SpaceX pour ses "taxis de l’espace"<!-- --> | Atlantico.fr
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Une équipe de chercheurs canadiens a mis au point un prototype de mentonnière piézoélectrique capable de collecter de l’énergie à partir des mouvements de la mâchoire.
Une équipe de chercheurs canadiens a mis au point un prototype de mentonnière piézoélectrique capable de collecter de l’énergie à partir des mouvements de la mâchoire.
©Flickr/genue.luben

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Et aussi : La déshydratation extrême d’un insecte rendue possible grâce aux gènes ; Cosmologie : l'énigme du lithium se confirme ; Une cure magnétique contre les virus comme celui d'Ébola ?.

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Produire de l’électricité en mâchant, c’est possible !

Une équipe de chercheurs canadiens a mis au point un prototype de mentonnière piézoélectrique capable de collecter de l’énergie à partir des mouvements de la mâchoire. Même s’il n’est pas encore viable, le concept démontre la possibilité d’alimenter de petits appareils électroniques, tels que des implants cochléaires ou des prothèses auditives.

Récemment en Corée du Sud, des chercheurs ont présenté un prototype de nanogénérateur piézoélectrique capable d’alimenter un stimulateur cardiaque grâce aux mouvements des muscles sur lesquels il serait fixé. Rappelons qu’un matériau piézoélectrique produit de l’électricité lorsqu’il subit une contrainte mécanique (et inversement). Justement, c’est à partir de ce type de matériau qu’une équipe de l'École de technologie supérieure de Montréal (ETS) au Canada a développé un procédé pour récolter de l’énergie à partir des mouvements de mâchoire.

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En bref : la Nasa choisit Boeing et SpaceX pour ses "taxis de l’espace"

La Nasa parie sur SpaceX et Boeing pour transporter ses astronautes à bord de la Station spatiale internationale et les redescendre sur Terre. Tous les deux proposent des capsules de type Apollo, mais si Boeing avec son CST-100 effectue un vol retour en mer, le Dragon habité de SpaceX pourra revenir en mer et au sol. Le Dream Chaser de Sierra Nevada, sorte de mini navette avec une structure lifting body (aile porteuse) qui revient comme un planeur n’a pas été retenu par la Nasa.

Première puissance spatiale au monde, les États-Unis avaient perdu de leur superbe quand, en juillet 2011, l’épopée des navettes avait pris fin avec le dernier vol d’Atlantis. Ils se retrouvaient alors littéralement cloués au sol, incapables de lancer leurs propres astronautes et de ravitailler la Station spatiale internationale (ISS). La faute à Barack Obama qui, en 2010, annule le programme Constellation proposé pour un « retour sur la Lune »

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La déshydratation extrême d’un insecte rendue possible grâce aux gènes

Des chercheurs ont séquencé le génome de l’insecte diptère Polypedilum vanderplanki capable de survivre en perdant 97 % de son eau. Des gènes spécifiques à cette espèce ont été identifiés.

L’anhydrobiose est une adaptation extrême de l’organisme dans laquelle un animal peut vivre en absence d’eau. Les organismes qui en sont capables ont une longévité surprenante, certaines espèces ont pu survivre à des dizaines voire des milliers d’années sous une forme sèche ! L’anhydrobiose est adaptée à certaines conditions extrêmes : températures maximales de + 90 °C et minimales de -270 °C, dans le vide, avec des doses élevées de radiations… Des conditions mortelles pour la plupart des êtres vivants.

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Cosmologie : l'énigme du lithium se confirme

Plusieurs des prédictions de la théorie de la nucléosynthèse primordiale, l’un des piliers de la théorie du Big Bang, ont été couronnées de succès. Mais un désaccord subsistait entre les prévisions de la théorie et les observations quant à l’abondance du lithium dans la Voie lactée. Une équipe internationale d’astronomes, en mesurant une distribution similaire en dehors de notre galaxie, vient de confirmer qu'il s'agit bien d’une véritable énigme cosmologique.

Les amas globulaires constituent des mémoires de la formation des galaxies et de l’état de la matière au moment où elle a démarré. Ces ensembles sont majoritairement peuplés d’étoiles âgées d’au moins 10 milliards d’années et ayant atteint un stade d’évolution similaire. Pauvres en métaux, c’est-à-dire, dans le jargon des astrophysiciens, en éléments plus lourds que l’hydrogène et l’hélium, ces étoiles ont dû se former en même temps et sont contemporaines des plus vieilles étoiles des galaxies.

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Une cure magnétique contre les virus comme celui d'Ébola ?

Des chercheurs viennent d'annoncer avoir développé une rate artificielle externe capable de nettoyer le sang d'agents pathogènes avec de microscopiques aimants, ce qui constitue la promesse d'un nouveau traitement contre la septicémie ou des maladies infectieuses comme Ébola.

Une invention mise au point par des chercheurs américains est destinée à traiter les infections du sang qui touchent 18 millions de personnes dans le monde chaque année avec un pourcentage de décès de 30 % à 50 %. Les microbes qui en sont la cause sont souvent résistants aux antibiotiques.

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