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Kate et William dans le “ Carré royal Viiip ”
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Revue de presse people

Patrick Bruel est à nouveau célibataire, Madame ex-Clooney ne parle plus de George, Arielle Dombasle dément les rumeurs de séparation avec BHL. Pendant ce temps, la presse se déchaîne sur les futurs mariés anglais.

Barbara Lambert

Barbara Lambert

Barbara Lambert a goûté à l'édition et enseigné la littérature anglaise et américaine avant de devenir journaliste à "Livres Hebdo". Elle est aujourd'hui responsable des rubriques société/idées d'Atlantico.fr.

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Madame ex-Clooney se serait-elle décidé à parler ? A la contempler so sexy et very mutine en couverture de “ Be ”, habillée qui plus est d’un fourreau blanc immaculé aux faux airs de robe de mariée, impatient, on s’est précipité sur l’article qui, enfin, allait nous révéler toute la vérité. Las, on a vite déchanté ! Dans l’entretien qu’Elisabetta Canalis accorde au magazine, il n’est à aucun moment question du beau George et de leur relation qui, apparemment, est bel et bien à ranger dans les affaires classées. “ Les récentes rumeurs de séparation du couple semblent l’éloigner d’un emménagement à Washington. Dommage, note “ Be ”. (Mais) la belle continue de mener sa carrière avec sérénité. What else ? ” What else ?, en effet.

Quand c’est fini, c’est fini, pas de quoi en faire tout un plat. Séparé de la journaliste Céline Bosquet, Patrick Bruel s’est vite remis. “ A 51 ans, note “ Voici ”, le fraîchement célibataire Bruel ne se morfond absolument pas dans son coin. Alors qu’il joue actuellement (…) au théâtre Edouard VII, on l’a vu en sortir, après la représentation, au bras de plusieurs jeunes femmes différentes. Blondes ou brunes, qu’importe ! ” Et les rousses, il les aime, les rousses ?

Pour Arielle Dombasle, en revanche, pas question de passer l’éponge. Interrogée quant aux rumeurs qui, depuis des mois, circulent à propos de son couple et de la liaison supposée de BHL avec l’héritière Daphne Guinness (oui, oui, comme la bière), la sylphide, en promo pour son nouveau disque, ne s’est pas défilée. Elle a tout nié en bloc : “ Tout cela n’est que du gossip et du trash anglo-saxon. Rassurez-vous, nous ne nous quittons pas et nous vivons sous le même toît ”. – “ Ces propos relèveraient donc de la mythomanie ? ”, insiste le magazine. — “ Je vis une passion intense et entière, répond Arielle Dombasle. Je ne peux pas vivre autrement. Et Bernard-Henri a une adoration pour moi qu’il me prouve tous les jours. Ces rumeurs sont du pur poison. Elles m’ont fait vivre une forme de saison en enfer, c’est vrai. Il y a toujours des gens qui veulent votre mort. Sans doute certains ont-ils voulu la mienne. ” — “ Des photos circulent pourtant sur le Net, où ils apparaissent tous les deux ”, tente une dernière fois “ Paris-Match ”. — “ Je ne regarde pas le Net. Je ne connais pas les photos dont vous parlez. ” Fin de la discussion, fermez les guillemets.

Tandis que notre Castafiore pop’n rock’n roll défend bec et ongles son mariage, tous les yeux sont rivés vers l’Angleterre. A quinze jours du mariage du siècle, people et news, tous confondus, consacrent leur une à Kate, oups !, "Catherine" Middleton et son prince (depuis les fiançailles, on vous le disait la semaine dernière, la famille royale a stipulé que Kate devait être appelée Catherine). Seul “ L’Express ” qui, mercredi dernier, proposait pourtant à ses lecteurs un “ Spécial Londres ”, semble considérer l’union royale comme un “ non-événement ” (sic). 

Moins bégueules, “ Le Nouvel Observateur ” et “ Courrier international ” lui consacrent de gros et beaux dossiers, plus intellos, peut-être, mais pas inintéressants. Interrogé dans “ Courrier international ”, l’écrivain Will Self décrit ainsi la famille royale comme “ un des groupes les plus dysfonctionnels d’émission de télé-réalité ”. Ecce “ Carré royal Viiip ” ? Le romancier poursuit : “ C’est la convergence sans cesse croissante entre la vie privée des Windsor et des émissions comme “ Je suis une célébrité ” et “ Big Brother ” qui a permis à la monarchie de s’adapter, de survivre et de continuer à se renforcer : Diana Spencer a été leur plus grand atout. Aujourd’hui, (…) les Windsor sont l’incarnation la plus frappante de ces gens que les médias encensent pour des raisons accidentelles, non pour un talent quel qu’il soit et encore moins pour une quelconque volonté de réussir. Inconsciemment, le public le sait : pour lui, épouser un Windsor reviendrait, en termes généalogiques, à gagner à la loterie. La probabilité est voisine de zéro, mais ça serait quand même formidable ”. Bienvenue dans la monarchie-réalité.

Roturière pur jus, issue d’une famille qui s’est “ élevée socialement grâce à son entreprise de vente par correspondance ” (“ Paris Match ”), Kate-Catherine a donc touché le jackpot. D’où, nul doute, l’intérêt qu’elle suscite. C’est assez parlant, dans la presse, les origines de la jeune femme jouent à la fois comme un point fort et un point faible. “ Dur dur de rentrer chez les Windsor sans y avoir été vraiment préparée, souligne “ Gala ”. Kate a le choix : faire confiance à sa bonne étoile ou suivre l’exemple de celles qui l’ont précédée ”. Please, pas Diana ! “ Grazia ”, de son côté, rappelle les moqueries dont cette “ fille de commerçants ” a fait l’objet dans les très chics public schools où elle a étudié. “ Harcelée dans son collège à l’âge de 13 ans, note l’hebdo, la future princesse a fait de la lutte contre le “ school-bullying ” (la violence à l'école, ndlr) une de ses priorités ”. 

Moins sympa, “ Public ” révèle qu’ “ on la surnomme “ la glycine ” pour sa capacité à grimper en toute situation dans la haute société. (…) A 7 ans, elle rêvait déjà de William (…) Fleur bleue mais pas nunuche, la jeune femme sait comment arriver à ses fins. Lorsqu’elle apprend que le prince s’est inscrit en histoire de l’art à l’université de Saint-Andrews pour la rentrée 2001, Kate s’y inscrit aussi sec, même si elle ne cessera de répéter par la suite que leur rencontre n’est due qu’au hasard ”. Suivent des photos de ses ex (beaucoup plus sexy que William), de “ ses looks ploucs ” et de “ ses looks chics ”, ainsi qu’une liste de “ tous ses petits secrets ”. 

Kate dont “ les dents (auraient été) refaites par un dentiste français ” serait ainsi “ accro à la nicotine ”, “ grande consommatrice de muesli ” mais peut-être “ anorexique ”. Ben, faudrait savoir… Histoire de finir en beauté, le people balance “ les photos qu’elle voudrait oublier ! ”, pas bien méchantes, en vérité, quand on les compare au cliché de l’artiste Alison Jackson. Exposé à la Hayward Gallery de Londres, il montre tout simplement Kate et William au lit. “ Rassurez-vous, précise “ Be ”, ce ne sont que des sosies. Vivement qu’ils se marient et qu’on en finisse enfin ”. Tu l’as dit.

Après le mariage, le bébé ? A l’heure où “ Gala ” publie des photos de Mariah Carey enceinte nue, dont on se serait bien passé, “ Public ” s’interroge sur le bedon naissant de Scarlett Johansson. “ On a peine à croire que Sean (Penn) et Scarlett aient sauté le pas aussi vite, eux qui ont caché leur idylle le plus longtemps possible ”, note l’hebdo. Une chose est sûre, en revanche, Benicio del Toro est bien le père du bébé de Kimberly Stewart. Qui ? La fille de Rod Stewart. Ah. Entre la jet-setteuse et l’acteur, “ c’est l’union de la carpe et du lapin ”, remarque à juste titre le magazine. Le porte-parole du sublime Portoricain l’a d’ailleurs précisé : “ Benicio est bien le père et apporte tout son soutien à Kimberly. Bien qu’ils ne soient pas en couple, ils attendent avec impatience l’arrivée du bébé ”. Pourquoi pas.

Angelina Jolie a-t-elle adopté un nouvel enfant, comme le laissait supposer le septième tatouage apparu sur son bras, juste en-dessous des lieux de naissance de ses six enfants ? A coup de zoom zoom avant, mon garçon, les spécialistes, enfin, sont parvenus à déchiffrer l’énigme : “ le septième sceau ” indique en fait le lieu de naissance de… Brad Pitt ! “ Pourquoi Angelina infantilise-t-elle Brad ? ”, se demande “ Elle ”. Réponses de l’hebdo : “ parce qu’elle se veut déesse de la maternité ” ; “ parce qu’elle veut être la seule et l’unique ” ; “ parce qu’elle veut officialiser leur union ”. Réponse du psy Jean-Pierre Winter : “ Je pense que ce tatouage est principalement l’expression de son attachement pour lui, en tant qu’homme et père de sa tribu, à l’heure où les rumeurs parlent de séparation ”. Séparation, mariage, bébé, séparation, on n’en sort pas. C'est comme ça.

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