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Zapping politique du jour : Laurent Fabius, Copé, Balladur... Tout ce qu'il faut retenir
©Reuters

A ne pas rater

Atlantico.fr vous propose ce mercredi, de retrouver les meilleurs moments de l'actualité politique.

La phrase du jour : Edouard Balladur, ancien Premier ministre dans le Figaro

"Il faut agir parce qu'il s'agit d'un véritable crime contre l'humanité"

La vidéo du jour : Najat Vallaud-Belkacem, porte-parole du gouvernement sur RMC

L'essentiel de ce mercredi matin

Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères, sur France Info

La Syrie ? "Il y a eu un massacre chimique le 21 août, et le régime de Bachar al-Assad en est responsable. La France est concernée car il y a eu violation de la convention internationale de 1925 qui interdit l'utilisation d'armes chimiques. (...) S'il n'y a pas de réponse, d'autres dictateurs pourront faire pareil. (...) Une intervention militaire n'est "pas contradictoire avec une solution politique".

"L'interview de Bachar el Assad au Figaro est extrêmement choquante. Il menace tout le monde et ne répond pas aux questions précises. (...) La France a pris des dispositions concernant ses intérêts dans la région, notamment au Liban. (...) Quand on a gazé une population et violé la convention de Genève de 1925, quand on est un massacreur de son peuple, ce genre de propos ne peut être pris en considération".

Un vote à l'Assemblée nationale ? "Un vote aujourd'hui n'aurait pas beaucoup de sens. Il faut attendre que "le président de la République ait tous les éléments en mains".

Jean-François Copé, président de l'UMP, sur RTL

La Syrie ? "La présomption que ce soit un acte de Bachar el Assad est très forte. Il faut recouper les pistes. Mais une attaque chimique, c'est un crime contre l'humanité. Il faut avoir la certitude absolue. Il est nécessaire de prendre de la hauteur. A l'UMP, on doit avoir une ligne claire".

"La communauté internationale ne parvient pas à se mettre d'accord. Il faut agir étape après étape. Premièrement, on ne peut pas rester silencieux face à l'utilisation des armes chimiques. Mais depuis une semaine, on a assisté à une gestion brouillonne de la situation par l'exécutif. François Hollande n'a pas parlé aux Français. Je regrette le suivisme français par rapport aux Américains. Il est temps de réunir un conseil européen. Il n'est pas normal qu'il n'ait pas fait de tournée européenne. Lorsque la certitude est acquise, on doit mobiliser l'ensemble de nos partenaires".

"La Ve République ne s'est pas construite par hasard et c'est dans cet esprit que certaines règles ont été établies. Le président de la République n'est pas obligé de faire voter le parlement sur cette question. (...) S'il n'y a pas de mandat de l'ONU alors, les députés pourraient être amenés à voter".

Michel Barnier, commissaire européen au marché intérieur, sur RMC

Sur la Syrie  ? "L’Europe, c’est une puissance politique, un grand marché, ce n’est pas une puissance militaire. Quand on parle d’engager des forces, ce sont les Etats membres qui sont en première ligne, c’est ce qui explique la diversité des opinions. La dimension politique et militaire reste à construire".

"Il faut que la France contribue à construire une position politique commune, même si elle sera sans doute plus diplomatique que militaire".

"Laissons le temps à la diplomatie de retrouver sa place, c’est pour ça que le G20 est extrêmement important. La menace des frappes peut permettre de faire bouger les lignes, monter la pression".


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