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Zapping politique du jour : Jean-Marie Le Pen, Raffarin, Lebranchu... Tout ce qu'il faut retenir
©Reuters

A ne pas rater

Atlantico vous propose de retrouver les moments forts des émissions politiques de ce mercredi matin.

La phrase du jour : Pierre Morel-A-L'Huissier député UMP, sur Europe 1 à propos de l'affaire Bygmalion

"On ne peut plus accepter ce qui s'est passé. Je veux savoir où est passé l'argent. (...) Est-ce que certains se sont servis au passage ? Quelle est la chaîne de responsabilité derrière tout ça ?"

La vidéo du jour : Jean-Pierre Raffarin, sénateur UMP et membre du triumvirat, sur France 2

L'essentiel de ce mercredi matin

Maylise Lebranchu, ministre de la Décentralisation et de la Fonction Publique, sur RTL

La réforme territoriale ? "On va gagner de l'argent avec cette réforme mais surtout on veut mieux s'occuper des gens avec un meilleur service public. Il s'agit de simplifier et d'être plus efficace. On doit mutualiser les services, les fonctions support. Cette réforme va aller très vite avec un transfert des compétences au 1er janvier 2015 pour les régions. Ce sera un peu plus long pour les départements. Il va y avoir une vraie solidarité dans les territoires. Il n'y aura plus de sentiment d'abandon". 

"Ce qui est le plus lourd c'est la redistribution. (...) La Cour des comptes dit qu'il faut faire mieux mais on est sur ce chemin. Il y a une autonomie des autorités locales, on leur a enlevé des subventions donc il y aura des économies. Il faut conjuguer ces -11 milliards et en même temps assurer les mêmes services, ce n'est pas simple".

"Tous les fonctionnaires n'ont pas les mêmes horaires. J'ai besoin de fonctionnaires mobilisés. La réforme est difficile mais je compte sur eux pour que le travail soit bien fait".

Jean-Marie Le Pen, président d'honneur du FN, dans Paris Match

L'attitude de Marine à son égard ? "Marine a tort de chercher l'approbation, ou pire, la bienveillance du système médiatico-politique. Si elle s'affadit et rentre dans le moule, elle signe sa perte. Nous ne sommes pas là pour obtenir des députés ou des médailles, mais pour dire tout haut ce que personne n'ose dire. Rester différents, c'est ce qui fait notre force. Le FN est arrivé en tête aux élections européennes, justement parce qu'il n'est pas comme les autres. La querelle avec Marine ? C'est un accident de parcours. Une crise de croissance. Une querelle comme il en existe dans toutes les familles. Ni elle ni moi ne voulons envenimer les choses, encore moins nuire au parti".

La ligne du FN ? "Je n'ai jamais cherché à faire un FN qui aurait incarné une droite un peu plus dure, un peu plus "hard" que celle qui existe déjà. Nous devons rester à part. Garder notre identité propre. L'extrême ne me fait pas peur".

L'éclatement du parti ? "C'est exactement ce qu'attendent nos ennemis, nous ne leur ferons pas ce cadeau. Surtout pas au moment où le FN est si près du but. Marine peut gagner en 2017"

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