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Zapping politique du jour : Christian Jacob, Le Foll, Hamon... Tout ce qu'il faut retenir
©Reuters

A ne pas rater

Atlantico vous propose de retrouver les moments forts des émissions politiques de ce mardi matin.

La phrase du jour : Benoît Hamon, ministre de l'Education nationale, dans Le Parisien

"Aujourd’hui, notre système d’évaluation souligne les lacunes et les échecs des élèves, ce qui peut être très décourageant pour certains"

La vidéo du jour : Pierre Moscovici, député PS sur iTélé

L'essentiel de ce mardi matin

Christian Jacob, chef de file des députés UMP à l'Assemblée dans Le Figaro

Le prêt de 3 millions d'euros consentis par le groupe à l'UMP ? "J'ai agi en responsabilité à un moment où l'UMP était en grande difficulté. Au lendemain des élections présidentielle et législatives perdues en 2012, l'UMP avait de gros problèmes de trésorerie. Jean-François Copé m'a alors demandé si le groupe pouvait lui faire un prêt de trésorerie, ce que j'ai accepté car le parti était exsangue. Il fallait faire fonctionner le mouvement. Nous avons mis en place un échéancier. Et lorsqu'il y a eu, à l'automne 2013, le pool bancaire pour refinancer l'UMP, j'ai demandé que le prêt soit annexé avec le même échéancier et le même taux d'intérêt, ce qui a été fait".

"Dans cette opération parfaitement légale, personne n'est lésé. J'assume avoir agi en toute conscience. Tout autre président de groupe aurait réagi de la même façon que moi".

Son appel à ne pas voter la réforme territoriale ? "La réforme territoriale doit être un tout. Elle devra être portée dans le cadre de l'élection présidentielle, alors qu'elle a été préparée sur un coin de table. Il faudrait baisser le nombre de strates et donner plus de lisibilité à l'action publique. Je ne suis même pas sûr que François Hollande et Manuel Valls aient la force politique de mener à bien cette réforme".

Manuel Valls ? "Pour le moment, il est dans le registre de la communication et de l'artifice. Sa difficulté, comme celle de Jean-Marc Ayrault, c'est l'incapacité du chef de l'État à porter une ligne politique claire".

Stéphane Le Foll, ministre de l'Agriculture, sur RTL

La fin des notes à l'école ? "Je pense que le ministre pose une vraie question et apporte une véritable réponse. L'école française forme des très très bons, de plus en plus d'ailleurs, mais aussi de mauvais élèves qui régraissent. C'est un constat, on perd des rangs de partout. Il faut que cela change. Il faut les faire progresser les plus faibles et non plus les stigmatiser. Je pense que c'est donc la bonne solution".

Manifs agricoles ? "Il faut protéger les lieux des pesticides qui peuvent être portés par le vent. Mains on ne veut pas mettre une bande de 200 mètres, ce sont des rumeurs. Oui à la protection mais non à la zone d'exclusion. On va travailler sur cette loi en trouvant un système technique qui permet d'épandre les pesticides sans que cela soit nuisible pour les habitations, crèches et maisons de retraite. Il faut faire en sorte qu'il y ait une distance de sécurité. On va faire des propositions. La mesure va évoluer. Mais, je le redis, jamais on a parlé d'une bande de sécurité de 200 mètres". 

Ecotaxe remplacée ? "Cette taxe a été réduite. Elle va dans le bon sens car on va taxer le transit de milliers de camions"

Laurent Hénart, président du parti radical, dans Direct matin

La présidence du parti radical ? "Il y a une émotion à se retrouver président de la famille politique à laquelle on appartient et dans laquelle on milite depuis vingt-cinq ans. Une émotion d’autant plus grande que je succède à Jean-Louis Borloo, pour qui j’ai une grande affection".

Les priorités du parti radical ? "La priorité, c’est que la ligne d’indépendance politique que j’ai proposée aux radicaux soit aussi celle de l’UDI. Cette indépendance, elle doit s’exercer par la liberté de ton mais aussi par le fait d’être présent à la présidentielle avec un projet d’alternance et une candidature. Je veux que ce soit l’objectif de l’UDI. Il faut qu’on arrive à construire une force politique nouvelle, progressiste, réunissant toutes les sensibilités du centre, qui soit, bien sûr, indépendante de l’UMP".

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