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Zapping politique du jour : Alain Lamassoure, Peillon, Fabius... Tout ce qu'il faut retenir
©Reuters

A ne pas rater

Atlantico vous propose de retrouver les moments forts des émissions politiques de ce mercredi matin.

La phrase du jour : Christiane Taubira, ministre de la Justice sur son compte Facebook

"Que devons-nous à cette jeunesse ardente? Retrouver ‘le goût de la conquête’ ! Avec l’arme du vote."

La vidéo du jour : Vincent Peillon, candidat PS aux européennes dans le sud-est sur itélé

L'essentiel de ce mercredi matin

Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères, sur France Info

Leonarda ? "S'il y a eu tentative de fraude, il ne faut pas la laisser rentrer en France. Mais de toute façon, c'est clair pour nous, la famille Dibrani ne reviendra pas en France"

Européennes ? "Il faut que les gens aillent voter. Il y a en fait une importance à simplifier les choses. 3 grandes tendances se dégagent dans ce scrutin des européennes : les démolisseurs, l'extrême-droite qui veut casser l'Europe, la détruire complètement, puis vous avez les répétiteurs, l'UMP, ceux qui veulent prolonger ce qu'ils ont fait. Et puis il y a la réorientation de l'Europe incarnée par la gauche. Non aux démolisseurs, non aux répétiteurs. Il y a beaucoup de confusions dans l'information. Il y a eu un manque de pédagagogie, on n'a pas assez expliqué que la droite et la gauche ce n'est pas la même chose dans la gestion européenne. Il faut saisir les derniers moments pour dire que c'est important, qu'il peut y avoir un changement, une réorganisation. Les choses qui ont été faites sont très insuffisantes".

2005, vous étiez contre le Traité constitutionnel ? "Je disais que je n'étais pas satisfait de l'Europe telle qu'elle était proposée à l'époque. Et je ne le suis toujours pas".

Alain Lamassoure, candidat UMP en Ile-de-France aux élections européennes, dans Le Figaro

Son bilan au Parlement européen ? "Un bilan résolument positif, même si beaucoup reste à faire. Nous avons travaillé d'arrache-pied à résoudre la crise financière et voté 28 lois qui nous préserveront d'un nouvel accès de folie de la finance internationale. Nous avons réalisé l'Union bancaire avec une supervision unique de toutes les banques européennes, réactualisé toutes les politiques communes jusqu'en 2020 en réaffirmant la force de la politique agricole commune, en garantissant la poursuite des investissements dans les régions, en lançant de nouveaux projets de recherche grâce à une augmentation des budgets de 40 %. Dans un budget européen à la baisse, les intérêts de la France ont été préservés! Je suis très fier du travail accompli au sein du PPE".

La montée du cote protestataire ? "Ne rejetons pas sur l'Europe notre incapacité à nous réformer. Ceux qui sont tentés par un vote anti-Europe doivent savoir que les européennes revêtent un nouvel enjeu. Le Parlement était jusqu'à maintenant une assemblée consultative et les enjeux du scrutin étaient flous. Dorénavant, avec l'application du traité de Lisbonne, aucune décision ne pourra être prise sans l'aval des eurodéputés. Dimanche, les Français et les Européens voteront également pour choisir un «M. Europe» qui sera à la tête de l'administration européenne. À l'UMP, avec nos partenaires du Parti populaire européen, nous défendons la candidature de Jean-Claude Juncker. Je dis aux Français: ne manquez pas cette occasion, votez utile car l'éparpillement des voix affaiblira la France".

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