Biographie non-officielle
Valérie Trierweiler : la première dame obtient 10 000 euros de dommages et intérêts pour "La Frondeuse"
Les poursuites engagées par Valérie Trierweiler en diffamation seront jugées ultérieurement.
Les auteurs et la maison d’édition de l’ouvrage "La Frondeuse" ont été condamnés mercredi à verser solidairement 10 000 euros de dommages et intérêts à Valérie Trierweiler pour atteinte à la vie privée, selon l’avocat de l’éditeur, Me Olivier Pardo.
Le tribunal de grande instance de Paris a en revanche débouté Patrick Devedjian, qui avait attaqué en diffamation. La première dame et le député des Hauts-de-Seine avaient l’un et l’autre attaqué l’ouvrage qui leur prêtait une relation ancienne.
En outre, le magazine Point de vue a été condamné, solidairement avec l’un des auteurs - le journaliste Christophe Jakubyszyn - interviewé dans l’hebdomadaire, à verser 3 000 euros de dommages et intérêts à Valérie Trierweiler.
"C’est une très bonne décision pour nous, on est tout à fait satisfait", a déclaré à la presse l’avocate de la première dame, Me Frédérique Giffard. Ces dommages et intérêts seront reversés à des oeuvres caritatives. Pour des raison de procédure, les poursuites engagées par Valérie Trierweiler en diffamation seront jugées ultérieurement.
La biographie de Valérie Trierweiler "La Frondeuse" au tribunalby Agence France-Presse
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