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Une escort-girl disculpe DSK
 dans une nouvelle affaire 
de viol
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Imbroglio

Elle conteste les accusations portées par une autre escort-girl, qui a déclaré avoir subi de la part de DSK des actes sexuels non consentis.

 Le Parisien a rencontré une escort-girl belge dont la version est diamétralement opposée à celle d'une de ses collègues, qui accuse Domonique Strauss Kahn de viol.
Elle conteste les faits présumés de viol en réunion qui auraient été commis en décembre 2010 lors d'une soirée libertine à Washington à laquelle aurait participé Dominique Strauss-Kahn, alors patron du FMI, dans le journal Le Parisien de dimanche.
Aurélie Delvaulx, 25 ans, conteste les accusations portées par une autre escort-girl, connue sous le prénom de Marion, qui a déclaré aux enquêteurs français avoir subi de la part de DSK des actes sexuels non consentis, alors qu'un proche de l'ancien ministre socialiste, David Roquet, lui aurait tenu les poignets, sous les yeux d'un commissaire. "Je n'ai pas hurlé mais j'ai clairement dit à haute voix que je ne voulais pas", avait déclaré sur PV la jeune femme, qui n'a pas porté plainte. 
"Cette histoire est bidon", a rétorqué Aurélie Delvaulx, qui était présente dans la même chambre lors des faits. "Si elle avait vraiment et clairement dit non, je serais intervenue, bien sûr", a-t-elle déclaré au quotidien. "S'il s'était passé quoi que ce soit, j'aurais fait le nécessaire. Elle est une grande fille, elle sait très bien à quoi s'en tenir dans ces soirées. Je ne l'ai pas entendue dire non et je n'ai pas vu David Roquet lui tenir les mains", a ajouté la jeune femme.
Lu sur Le Parisien.fr

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