Sécheresse : des infractions sur l'eau relevées dans environ 7% des contrôles<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Environnement
Sécheresse : des infractions sur l'eau relevées dans environ 7% des contrôles
©Sebastien SALOM-GOMIS / AFP

Bilan

À la mi-août, 78 départements étaient concernés par des restrictions d'eau, dont 40 en situation de crise

Les contrôles sur l'utilisation de l'eau, qui peut être restreinte en raison de la sécheresse persistante en France, ont débouché sur un constat d'infraction ou de manquement dans environ 7% des cas depuis le début de l'année, selon un bilan de l'Office français de la biodiversité publié vendredi.

« À ce jour, l'OFB a déjà réalisé près de 6000 contrôles relatifs aux mesures de gestion quantitative de l'eau sur l'ensemble du territoire national, dont 90% portaient sur les arrêtés sécheresse pris par les préfets dans les départements », indique l'établissement public, après avoir réalisé plus de 1000 contrôles sur la seule semaine du 3 au 10 juillet.

« Des manquements ou des infractions commis par des professionnels ou des particuliers ont été relevés dans environ 7% des cas. Ces opérations de contrôle vont se poursuivre au moins jusqu'à l'automne, tant que les restrictions liées à la sécheresse persisteront », ajoute l'OFB dans un communiqué. 

Les infractions les plus récurrentes sont les suivantes : « irrigation interdite, dépassement des débits autorisés, arrosage, horaires non autorisés, piscines, etc.», a détaillé une porte-parole de l'OFB à l’AFP. Les peines encourues sont de 1500 euros pour les personnes et de 7500 pour les personnes morales. 

Dans les 40 départements en situation de crise, de nombreux usages de l'eau sont interdits comme le remplissage des piscines, le lavage des voitures ou l'arrosage des terrains sportifs.

Le Figaro

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !