Retour sur une opération de chantage visant le groupe LVMH<!-- --> | Atlantico.fr
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Bernard Arnault et Emmanuel Macron
Bernard Arnault et Emmanuel Macron
©MICHEL EULER / POOL / AFP

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La Direction centrale du renseignement intérieur serait intervenue à l'époque

C’est l’un des volets méconnus de la tentaculaire affaire LVMH dans laquelle Bernard Squarcini, l’ex-directeur du renseignement intérieur de 2008 à 2012, qui est présumé innocent, est mis en examen à seize reprises notamment pour "trafic d’influence" et "détournement de fonds publics".

La cellule investigation de Radio France a pu reconstituer l’incroyable déroulement de cette tentative de chantage dont l’existence avait été révélée en octobre 2016 par Le Canard enchaîné.  Le site France Info raconte cette (très) longue aventure en 7 épisodes.

En décembre 2008, la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI, aujourd’hui DGSI) a déployé d’importants moyens pour identifier un présumé maître-chanteur qui envoyait des e-mails malveillants au président-directeur général du groupe de luxe LVMH, Bernard Arnault, première fortune française et troisième fortune mondiale.

L’opération de la DCRI s’est déroulée dans la plus grande discrétion, la justice n’ayant jamais été saisie. Surnommé "le Squale", Bernard Squarcini a été mis en examen pour "abus de confiance", en novembre 2018, dans ce dossier. La cellule investigation de Radio France a pu reconstituer l’incroyable déroulement de cette tentative de chantage dont l’existence avait été révélée en octobre 2016 par Le Canard enchaîné. 

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