Rapport Sartorius sur PSA Peugeot : Varin et Moscovici restent silencieux<!-- --> | Atlantico.fr
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Peugeot et l'ensemble du groupe ne sont pas en bonne santé actuellement
Peugeot et l'ensemble du groupe ne sont pas en bonne santé actuellement
©Reuters

Silence radio

Le patron de PSA Peugeot Citroën et le ministre de l'Économie n'ont pas voulu faire de commentaires lundi soir sur le rapport commandé par le gouvernement sur les projets de restructuration du groupe.

Journée importante pour le groupe PSA Peugeot. Un rapport commandé par le gouvernement sur les projets de restructuration du groupe va être présenté ce mardi. Philippe Varin, le patron du groupe et Pierre Moscovici, le ministre de l'économie ont déjà pris connaissance de ce document mais n'ont pas voulu faire de commentaires.

Ils n'ont pas voulu non plus commenter les déclarations de François Hollande qui a estimé dimanche que les partenaires sociaux devaient "trouver des compromis pour qu'il y ait moins d'emplois supprimés et plus de reconversions, et l'État accompagnera ce mouvement de reconversions". "On est lancé (dans) un processus avec les représentants du personnel qui montrent une grande maturité dans la discussion", s'est contenté de dire Philippe Varin. Pierre Moscovici, aussi présent, n'a pas voulu en dire plus. Arnaud Montebourg, le ministre du Redressement productif dévoilera mardi matin aux syndicats de PSA et à des élus locaux les conclusions du rapport commandé fin juin à Emmanuel Sartorius, ingénieur général des Mines, sur "la situation réelle du groupe".

La direction, qui dit perdre 200 millions d'euros de liquidités par mois, a annoncé en juillet la fermeture en 2014 de l'usine d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), mesure la plus spectaculaire d'un vaste plan de restructuration qui prévoit en tout 8 000 suppressions de postes. Cette annonce a provoqué un choc politique et social dans l'Hexagone.

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