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Pour François Hollande, Bachar al-Assad n'est "pas un interlocuteur crédible pour lutter contre Daech"
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Position figée

Le président de la République recevait ce jeudi à l'Elysée, Khaled Khoja, le chef de la coalition nationale syrienne.

Non à Bachar al-Assad. Voilà le message que François Hollande a voulu faire passer ce jeudi à l'Elysée en recevant le chef de la coalition nationale syrienne Khaled Khoja; Mais le président de la République est allé plus loin en critiquant le dirigeant syrien qui pour lui est le "principal responsable du malheur de son peuple". Selon le chef de l'Etat, al-Assad n'est "pas un interlocuteur crédible pour lutter contre Daech et préparer l'avenir de la Syrie".

François Hollande a aussi indiqué vouloir rapidement "une transition politique en Syrie". Selon lui, c'est "la seule solution possible pour rassembler le peuple syrien, répondre à ses aspirations légitimes, éradiquer les groupes terroristes et rétablir la paix civile". Réitérant à Khoja "le soutien politique et opérationnel de la France aux forces de l'opposition démocratique engagées en première ligne contre Daech", il a aussi "félicité" la Coalition "pour son initiative de dialogue avec les autres composantes de l'opposition démocratique et l'a encouragée à poursuivre dans cette voie".

La semaine passée, François Hollande avait condamné le voyage polémique des quatre parlementaires français en Syrie, trois d'entre eux avaient rencontré Bachar al-Assad.

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