Pierre Palmade n'est plus hospitalisé depuis début juin, son contrôle judiciaire allégé<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Justice
Pierre Palmade n'est plus hospitalisé depuis début juin, son contrôle judiciaire allégé
©GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP

Les investigations se poursuivent

Le contrôle judiciaire du comédien Pierre Palmade, mis en cause dans un accident de voiture survenu en février dernier, a été allégé. Il n'est donc plus hospitalisé au CHU de Bordeaux depuis le début du mois de juin, selon une information de BFMTV.

Les médecins ont estimé que Pierre Palmade n'avait plus besoin d'être hospitalisé en semaine. Il est donc libre de ses mouvements à condition de ne pas quitter la région de la Nouvelle-Aquitaine. L'acteur est toujours mis en examen dans l'accident qu'il a causé sous l'emprise de drogues le 10 février et qui a fait plusieurs blessés graves.

Son contrôle judiciaire lui interdit toujours de prendre le volant, d'entrer en contact avec les victimes de l'accident, et lui impose de soigner son addiction aux stupéfiants, mais sans hospitalisation forcée. 

L'une des trois victimes, le père de famille qui était au volant du véhicule percuté par Pierre Palmade, est toujours hospitalisée à l'heure actuelle, selon leur avocat.

de nouveaux éléments de l'enquête ont mis hors de cause la vitesse de la vitesse de la voiture conduite par Pierre Palmade dans l'accident. La piste de l'envoi d'un texto par l'humoriste au volant a également mise de côté.

Si les investigations se poursuivent, de nouveaux éléments de l'enquête ont mis hors de cause la vitesse de la vitesse de la voiture conduite par Pierre Palmade dans l'accident. La piste de l'envoi d'un texto par l'humoriste au volant a également mise de côté.

BFM TV

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !