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Mort d’un bébé à Gaza : la famille aurait menti sur les causes du décès en échange d’une rémunération du Hamas
©MAHMUD HAMS / AFP

Version des faits

D’après un acte d’accusation, le Hamas aurait donné de l’argent à une famille dont le bébé est mort au mois de mai à Gaza. En contrepartie, cette dernière devait soutenir que l’enfant était décédé après avoir inhalé des gaz lacrymogènes lancés par l’armée israélienne.

Près de 2,000 euros, soit 8,000 shekels auraient été versés par le Hamas à la famille de Leïla al-Ghandour, un bébé de 8 mois mort en mai dernier. Après son décès, la famille avait accusé l’armée israélienne. Le ministre gazaoui de la Santé, avait lui aussi, dans un premier temps, annoncé que l’enfant avait trouvé la mort après avoir respiré les gaz lacrymogènes employés par les soldats israéliens.

Aujourd’hui, cette version des faits est remise en cause. Selon un acte d’acte d’accusation déposé jeudi, contre le cousin du bébé, Mahmoud Omar, également membre des Brigades des martyrs d’Al-Aqsa, l’accusé aurait affirmé que la mère de l’enfant lui avait annoncé le décès lié à une maladie du sang. Le frère de Leïla al-Ghandour serait lui aussi décédé de la même maladie, au même âge en 2017. Le moi dernier, cet évènement avait été largement médiatisé. Les funérailles de l’enfant avaient été retransmises par certains journaux télévisés.

Lu sur i24NEWS

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