Michael Schumacher : état de santé toujours “critique” mais “stable”<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
People
Les fans s'inquiétent devant le CHU de Grenoble
Les fans s'inquiétent devant le CHU de Grenoble
©Reuters/Charles Platiau

L'attente continue

Sabine Kehlm, la porte-parole de l’ancien pilote de F1, a aussi mis fin au début de polémique concernant les révélations tardives de l’existence d’une caméra.

Les jours se suivent et se ressemblent : l’état de santé de Michael Schumacher n’évolue pas. L’ancien champion du monde de Formule 1, hospitalisé au CHU de Grenoble, demeure dans un état « critique mais stable » comme l’a confirmé ce samedi sa porte-parole Sabine Kehm. Dans le coma depuis six jours, suite à une chute à skis, l’ancien pilote allemand est donc toujours plongé dans le coma et entre la vie et la mort.

Mais un début de polémique est né ce vendredi. En effet, la révélation tardive de l’existence d’une caméra embarquée de type Go-Pro sur le casque de Michael Schumacher au moment de sa chute a fait naître quelques suspicions. Certains médias ont par exemple estimé que sa famille avait rechigné à la transmettre à la police. Ce à quoi Sabine Kehm a réagi ce samedi.

"Que cela ait dû être fait contre la volonté de la famille est faux", a-t-elle souligné en affirmant que "seule la santé de Michael compte pour sa famille". Elle a ajouté qu'"en accord avec les médecins qui s'occupent de Michael au CHU de Grenoble, il n'est pas prévu d'organiser de conférence de presse avant lundi".

"Nous insistons également sur le fait que toute information sur sa santé n'émanant pas de ses médecins ou de la direction de l'hôpital doit être considérée comme nulle et pure spéculation", a encore dit la porte-parole, demandant aux médias de "respecter la vie privée de la famille".

Pour rappel, des gendarmes s'étaient rendus vendredi après-midi à l'hôpital de Grenoble pour entendre le fils du septuple champion du monde et un de ses amis, tous deux présents lors du drame. D'autres proches ont été entendus en fin de semaine.

Lu sur Europe 1

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !