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Les Européens n’aiment pas l’euro mais ne veulent pas l’abandonner
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"Ni avec toi, ni sans toi"

Selon un sondage publié dans le New York Times, la majorité des habitants de cinq pays européens souhaite conserver la monnaie unique.

Les Européens n’aiment pas l’euro mais veulent tout de même conserver la monnaie unique. C’est le résultat d’une étude menée en Italie, en Grèce, en Allemagne, en France et en Espagne et publiée ce mardi dans le New York Times. "Malgré les troubles financiers qui secouent l'Europe, une majorité des habitants des cinq pays sondés préfère garder la monnaie unique, de 52% en Italie à 71% en Grèce", d'après ce sondage réalisé également en Allemagne, France et Espagne par le projet Global Attitudes (comportements mondiaux) du Pew Research Center.

Une contradiction particulièrement flagrante en Grèce qui est aujourd’hui en position délicate dans la zone euro. "C'est là que les sondés avaient le plus tendance à dire que leur pays avait été affaibli par l'intégration européenne. Et leur soutien à l'euro y est le plus fort, selon l'enquête, peut-être un signe de la tendance de leur vote au moment où de nouvelles élections parlementaires sont prévues pour le 17 juin", explique le New York Times.

Selon Bruce Stokes, directeur des comportements économiques mondiaux du Pew Research Center de Washington, c’est le risque qui pousse les Européens à avoir cet opinion. En gros, l’abandon de l’euro serait synonyme de "grand bond dans l’inconnu".

Lu sur le New York Times

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