Le siège d'Uber à Paris perquisitionné<!-- --> | Atlantico.fr
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Pour la direction d'Uber, il s'agit d'une tentative d'intimidation.
Pour la direction d'Uber, il s'agit d'une tentative d'intimidation.
©Reuters

Point mort

Les enquêteurs s'intéressent au service controversé de covoiturage, qui met en relation des passagers et des conducteurs non professionnels.

Après la loi, la justice. Depuis le 1er janvier 2015, le service de covoiturage entre particulier UberPop est interdit. Face à la pression des chauffeurs de taxi qui voyait en ce service une concurrence déloyale, le gouvernement, en décembre dernier, le gouvernement avait décidé d'interdire UberPop, conséquence d'une décision du tribunal de commerce.

Si dans les faits, le service reste encore utilisé, le siège, situé dans le XIXe arrondissement, du géant américain à Paris a été perquisitionné mardi, sous ordre du parquet. Selon le porte-parole, cette perquisition n'était "pas particulièrement clair et défini". Dans le cadre de cette enquête sur UberPop, plusieurs téléphones portables ont été saisis.

Pour la direction du géant américain, ce nouvel épisode n'est qu'une simple tentative d'intimidation, alors que plusieurs chauffeurs UberPop ont déjà été verbalisés depuis le 1er janvier et le début de l'interdiction du service. Pour riposter, Uber a déjà porté deux plaintes contre la France devant la Commission européenne pour dénoncer la loi Thévenoud qui encadre l'activité des VTC.

Lu sur Europe 1

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