Le ministre de la Santé espère que l'on pourra envisager la fin du masque à l'extérieur cet été<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Santé
Olivier Véran
Olivier Véran
©Capture d'écran Europe 1

Coronavirus

Oilivier Véran a aussi justifié l'absence d'ordonnance pour les la vaccination des 4 millions de Français atteints de maladie chronique

 Le ministre de la Santé a été interrogé mardi matin sur Europe 1  sur la fin du port du masque à l'extérieur où les risques de contamination sont faibles, sauf s'il y a des attroupements.

"Je ne peux pas donner de date aujourd'hui, ce ne serait pas honnête de ma part. Mais dès lors que nous pourrons nous retrouver, envisager sereinement la fin des gestes barrières et la fin du masque à l'extérieur, nous n'attendrons pas 24 heures. Nous le dirons immédiatement. Et j'espère sincèrement que ce sera cet été", a répondu Olivier Véran.

Certaines études montrent en effet que les contaminations dehors sont très faibles, elles représenteraient entre 0,5 et 5% de l’ensemble des cas indique Europe 1 sans citer de sources précises.

Par ailleurs depuis samedi, la vaccination est ouverte aux plus de 18 ans souffrant de maladies chroniques et d'obésité en France. Mais aucune ordonnance, ni certificat médical, n'est nécessaire. 

Olivier Véran a justifié ce choix : ""J’aurais pu demander à quatre millions de Français adultes et atteints de maladies chroniques d’aller chez leur médecins, embouteiller les cabinets médicaux en pleine vague épidémique, pour leur demander une attestation selon laquelle ils auraient les maladies" (...) Je fais confiance à la fois au Français et en même temps aux équipes médicales dans les centres qui sont capables de faire le point avec les gens qui viennent se faire vacciner."

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !