La Haute Autorité de santé (HAS) fait deux recommandations pour contrer Omicron<!-- --> | Atlantico.fr
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Covid-19

Le variant Omicron, particulièrement contagieux, se répand en France

Face à la cinquième vague de l’épidémie de SARS-CoV-2, alors que le variant Omicron, particulièrement contagieux, se répand en France, la HAS a évalué le bénéfice de réduire l’espacement entre la primovaccination et la dose de rappel écrit la Haute Autorité de santé (HAS)

Elle recommande que le rappel soit réalisé à partir de 3 mois après la primovaccination. De plus, afin de mieux les protéger, la HAS recommande d’administrer un rappel aux adolescents de 12 à 17 ans, les plus à risque.

A l’instar de plusieurs pays, la HAS recommande que l’administration d’une dose de rappel puisse désormais être réalisée à partir de 3 mois après la primovaccination dans la population éligible à ce rappel.

En effet, "la HAS considère que le contexte épidémique actuel préoccupant justifie une accélération de la campagne vaccinale en raccourcissant le délai entre primovaccination et dose de rappel et en augmentant le niveau de protection de la population. Le double objectif étant à nouveau de limiter au maximum le nombre de nouveaux cas d’infection et de formes graves et d’éviter la saturation des établissements de santé."

"Compte tenu de la situation épidémique liée à la diffusion du variant Omicron, des données qui confirment une baisse de l’efficacité vaccinale, l’ANSM a rendu un avis dans lequel elle considère que l’administration d’une dose de rappel chez les adolescents fragiles peut être envisagée. Sur la base de ces différents éléments, la HAS recommande dès à présent l’administration d’une dose de rappel chez les adolescents de 12 à17 ans souffrant d’immunodéficience (pathologique et induite par les médicaments) ou d’une comorbidité à risque de forme grave, selon les mêmes modalités que les adultes."

La HAS indique aussi qu'elle se prononcera ultérieurement sur l’administration de ce rappel à l’ensemble des adolescents de 12 à 17 ans. En effet, l’essai clinique conduit par le laboratoire Pfizer visant à évaluer l’efficacité et la tolérance d’une dose de rappel chez les adolescents est en cours. 

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